Le président syrien s’est démarqué de l’élan planétaire de solidarité après les attentats du 13 novembre. Il a critiqué la politique "erronée" des pays occidentaux.
La France réclame le départ du président syrien Bachar al-Assad, rappelle le site 20minutes.fr. Samedi dernier, il a avancé que la politique française en Syrie avait contribué à "l’expansion du terrorisme", tant dans son pays qu’en Occident.
Ailleurs, en Occident et dans le monde arabo-musulman, la colère et l’effroi ont marqué les réactions exprimées par les dirigeants politiques après les attentats du 13 novembre contre des passants, des cafés, un concert de rock et un stade de football qui ont fait 129 morts.
Même le Hezbollah libanais et l’Iran, qui sont des alliés du régime de Bachar al-Assad, ont condamné les attentats du 13 novembre revendiqués par le groupe Etat islamique qui occupe de vastes en Syrie dévastée par la guerre, et en Irak.
"Les responsables européens n’ont pas écouté"
"Les politiques erronées adoptées par les pays occidentaux, notamment la France dans la région a contribué à l’expansion du terrorisme", a déclaré Bachar al-Assad devant une délégation française dirigée par le député Thierry Mariani.
Bachar al-Assad a affirmé que la France a connu, avec les attentats du 13 novembre, ce que vivent les Syriens. "On avait averti sur ce qui allait se passer en Europe il y a trois ans, on avait dit ne prenez pas ce qui se passe en Syrie à la légère. Malheureusement les responsables européens n’ont pas écouté", a-t-il ajouté.
A propos de la possible collaboration entre la Syrie et la France dans la lutte antiterroriste, Bachar al-Assad a dit : ""On ne peut pas faire de la coopération des services secrets sans coopération politique". Il accuse régulièrement les Occidentaux, dont la France, et certains pays arabes de financer les rebelles en Syrie.
La France réclame le départ du président syrien Bachar al-Assad, rappelle le site 20minutes.fr. Samedi dernier, il a avancé que la politique française en Syrie avait contribué à "l’expansion du terrorisme", tant dans son pays qu’en Occident.
Ailleurs, en Occident et dans le monde arabo-musulman, la colère et l’effroi ont marqué les réactions exprimées par les dirigeants politiques après les attentats du 13 novembre contre des passants, des cafés, un concert de rock et un stade de football qui ont fait 129 morts.
Même le Hezbollah libanais et l’Iran, qui sont des alliés du régime de Bachar al-Assad, ont condamné les attentats du 13 novembre revendiqués par le groupe Etat islamique qui occupe de vastes en Syrie dévastée par la guerre, et en Irak.
"Les responsables européens n’ont pas écouté"
"Les politiques erronées adoptées par les pays occidentaux, notamment la France dans la région a contribué à l’expansion du terrorisme", a déclaré Bachar al-Assad devant une délégation française dirigée par le député Thierry Mariani.
Bachar al-Assad a affirmé que la France a connu, avec les attentats du 13 novembre, ce que vivent les Syriens. "On avait averti sur ce qui allait se passer en Europe il y a trois ans, on avait dit ne prenez pas ce qui se passe en Syrie à la légère. Malheureusement les responsables européens n’ont pas écouté", a-t-il ajouté.
A propos de la possible collaboration entre la Syrie et la France dans la lutte antiterroriste, Bachar al-Assad a dit : ""On ne peut pas faire de la coopération des services secrets sans coopération politique". Il accuse régulièrement les Occidentaux, dont la France, et certains pays arabes de financer les rebelles en Syrie.