Selon Sophie Neumayer, journaliste de France 2, "la ville de Nice se savait menacée, en témoignent les images de la fan-zone de Nice durant l'Euro, avec ce très gros dispositif de sécurité pour veiller à ce que tout se déroule bien." Elle ajoute aussi que "Nice est une cible privilégiée, surtout en cette période estivale, il y a énormément de touristes étrangers, ce qui assure à ce genre d'attaques un retentissement à l'international." Également, selon Sophie Neumayer, "Nice a déjà été ciblée en février 2015. Un homme, Moussa Coulibaly, avait blessé 3 militaires qui patrouillaient autour d’un centre communautaire juif". Enfin, la journaliste ajoute que "Nice est un foyer de jihadistes. Beaucoup de jeunes Français sont partis de cette ville pour se rendre en Syrie."
Un mode opératoire inédit en France
Sophie Neumayer rappelle qu'on "ne sait pas encore si cette attaque doit être attribuée à Al-Qaida ou à l'État islamique", mais que "ce type d'attaque avait été réalisé à l'étranger". D'ailleurs, selon elle, "les services de renseignement qui savaient également que des villes de province pouvaient être ciblées. Tout un mode opératoire a été organisé afin que les forces d'intervention puissent intervenir le plus rapidement possible dans ces villes de province".
Un mode opératoire inédit en France
Sophie Neumayer rappelle qu'on "ne sait pas encore si cette attaque doit être attribuée à Al-Qaida ou à l'État islamique", mais que "ce type d'attaque avait été réalisé à l'étranger". D'ailleurs, selon elle, "les services de renseignement qui savaient également que des villes de province pouvaient être ciblées. Tout un mode opératoire a été organisé afin que les forces d'intervention puissent intervenir le plus rapidement possible dans ces villes de province".