Sitor ! Il a si tort, ce cyclothymique ! Il fait partie de ces politiciens qui ravalent toujours ce qu’ils ont vomi pour se rassasier. Son nom fait immédiatement penser au COUD qu’il dirigeait avec une désinvolture si prédatrice qu’il fut parmi les premiers sur la liste de la CREI en 2012. Il crie « Au voleur » contre Khalifa Sall. Et il fait éclater de rire les uns, enragent les autres et aiguillonne le dédain que les Sénégalais ont des acteurs politiques, tous roublards, hâbleurs, esbroufeurs et mythomanes.
En 2008, ce Sitor Ndour joue au Faux Lion, quitte avec fracas le PDS, suit Macky, puis fait volteface et retourne vers Wade qui l’appâte à la tête du COUD, sachant ce qu’il veut. Après, que ne dit-il contre Macky ! Il jura même, avec une abjecte véhémence, qu’il n’allait plus jamais collaborer avec lui, préférant plutôt mettre terme à sa carrière. Mais Macky gagne et le défénestre. Comme un pickpocket qui a peur d’un lynchage, Sitor prit son élan et créa un pompeux parti de supercherie, Energie Libérale pour une Avancée nationale ! ELAN, en épitomé ! Effectivement, il prend son ELAN, nom de parti révélateur de l’anatomie de sa versatilité, et décampe.
Macky donne les sinécures. Alors Sitor reprend son ELAN vers lui, épiant du marron-beige, allégorie du Pain chocolat qu’il avait vomi ! Il jurait de ne plus jamais collaborer avec lui. Mais il rôde autour du Macky jusqu’à y être casé PCA de la SAED. Pour conserver sa part du Pain, il invective les adversaires du Macky comme Khalifa Sall : « il a détourné (…) et devrait être arrêté et jugé » ! clame-t-il. Pourtant, ce qui se passa en son temps au COUD fut pire.
Sitor, le COUD et la CREI
Sitor Ndour a quitté, le 11 mai 2012, le COUD sous les huées. « Au voleur », criaient étudiants et agents universitaires. Et Abdoulaye Diouf Sarr, actuel Ministre de la Gouvernance locale qui le remplaçait, eut la présence d’esprit de clarifier avoir signé un rapport de passation de service sous réserve de vérification de sa gestion. Et cette gestion passée au crible aboutit à la CREI, confortée par le rapport sans appel de la Cour des Comptes en 2012. Le COUD fut pillé ! Que de malversations au niveau de la Trésorerie de l’établissement !
Sitor Ndour a eu à faire du COUD une vache à lait comme le firent Sada Ndiaye et feu Iba Gueye. Il fut un Hann. L’OFNAC a épinglé Cheikh Oumar Hann et la CREI l’a ciblé. Seuls Mame Bounama Sall et Abdoulaye Diouf Sarr ont assuré la Direction du COUD dans la transparence des résultats et des comptes rendus. La CREI a épié Sitor Ndour pour « enrichissement illicite ». Et c’est ce Sitor Ndour, transhumant du Macky, qui crie Au voleur contre Khalifa !
Le Macky infecté de « faux types »
Les vomissures des régimes d’hier se claquemurent aujourd’hui dans le régime APR, incapable d’imposer la Gouvernance vertueuse et sobre. Les pillards sont devenus des Mackysards. Sitor Ndour en fait partie. On y retrouve Innocence Ntap Ndiaye, Baïla Wane, Awa Ndiaye la Cuillère de la Génération que les Cons créent, Pape Diouf, Oumar Gueye, Djibo Leyti ka, Ousmane Tanor, Me Ousmane Ngom, l’homme de l’avion présidentiel dont la présence à la tête du Ministère de l’Intérieur renvoie à la mort de l’étudiant Mamadou Diop, Thierno Lo, Safiètou Ndiaye Diop, Abdou Fall, Serigne Mbacké Ndiaye, etc. Et la liste est extrêmement longue.
La tragédie de Macky Sall est d’ignorer de ces transhumants frivoles, comme ce Sitor Ndour, transhumants aux mains souillées et aux noms inextricables à la forfaiture, donnent à son régime une image abjecte, vile, indécente et répugnante. Qu’ils se taisent ou se taisent ! La transhumance est abominable dans l’esprit public. Elle ne provoque pas seulement dédain. Elle donne aussi au pouvoir un faciès répugnant surtout avec l’insoutenable impunité des voleurs !
Des « voleurs » dans le Macky
En voulant consolider ses acquis, élargir ses bases politiques, fortifier son régime et renforcer sa force politique, Macky Sall a démarché des gens d’autres partis et tendu la main à tous. Malheureusement, il a fini par recevoir dans son parti de faux types, des vomissures du jeu électoral, des prédateurs de finances publiques, des renégats et des fossoyeurs qui incarnent le parjure dans le jeu politique sénégalais.
Ce sont ces Sitor, Awa ndiaye, Ousmane Ngom, et autres mille apostats qui infectent son régime et l’éloignent du Sénégal. Le Macky soupçonne et accuse, mais il compte énormément de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient « Au voleur ! »
Le Piroguier
En 2008, ce Sitor Ndour joue au Faux Lion, quitte avec fracas le PDS, suit Macky, puis fait volteface et retourne vers Wade qui l’appâte à la tête du COUD, sachant ce qu’il veut. Après, que ne dit-il contre Macky ! Il jura même, avec une abjecte véhémence, qu’il n’allait plus jamais collaborer avec lui, préférant plutôt mettre terme à sa carrière. Mais Macky gagne et le défénestre. Comme un pickpocket qui a peur d’un lynchage, Sitor prit son élan et créa un pompeux parti de supercherie, Energie Libérale pour une Avancée nationale ! ELAN, en épitomé ! Effectivement, il prend son ELAN, nom de parti révélateur de l’anatomie de sa versatilité, et décampe.
Macky donne les sinécures. Alors Sitor reprend son ELAN vers lui, épiant du marron-beige, allégorie du Pain chocolat qu’il avait vomi ! Il jurait de ne plus jamais collaborer avec lui. Mais il rôde autour du Macky jusqu’à y être casé PCA de la SAED. Pour conserver sa part du Pain, il invective les adversaires du Macky comme Khalifa Sall : « il a détourné (…) et devrait être arrêté et jugé » ! clame-t-il. Pourtant, ce qui se passa en son temps au COUD fut pire.
Sitor, le COUD et la CREI
Sitor Ndour a quitté, le 11 mai 2012, le COUD sous les huées. « Au voleur », criaient étudiants et agents universitaires. Et Abdoulaye Diouf Sarr, actuel Ministre de la Gouvernance locale qui le remplaçait, eut la présence d’esprit de clarifier avoir signé un rapport de passation de service sous réserve de vérification de sa gestion. Et cette gestion passée au crible aboutit à la CREI, confortée par le rapport sans appel de la Cour des Comptes en 2012. Le COUD fut pillé ! Que de malversations au niveau de la Trésorerie de l’établissement !
Sitor Ndour a eu à faire du COUD une vache à lait comme le firent Sada Ndiaye et feu Iba Gueye. Il fut un Hann. L’OFNAC a épinglé Cheikh Oumar Hann et la CREI l’a ciblé. Seuls Mame Bounama Sall et Abdoulaye Diouf Sarr ont assuré la Direction du COUD dans la transparence des résultats et des comptes rendus. La CREI a épié Sitor Ndour pour « enrichissement illicite ». Et c’est ce Sitor Ndour, transhumant du Macky, qui crie Au voleur contre Khalifa !
Le Macky infecté de « faux types »
Les vomissures des régimes d’hier se claquemurent aujourd’hui dans le régime APR, incapable d’imposer la Gouvernance vertueuse et sobre. Les pillards sont devenus des Mackysards. Sitor Ndour en fait partie. On y retrouve Innocence Ntap Ndiaye, Baïla Wane, Awa Ndiaye la Cuillère de la Génération que les Cons créent, Pape Diouf, Oumar Gueye, Djibo Leyti ka, Ousmane Tanor, Me Ousmane Ngom, l’homme de l’avion présidentiel dont la présence à la tête du Ministère de l’Intérieur renvoie à la mort de l’étudiant Mamadou Diop, Thierno Lo, Safiètou Ndiaye Diop, Abdou Fall, Serigne Mbacké Ndiaye, etc. Et la liste est extrêmement longue.
La tragédie de Macky Sall est d’ignorer de ces transhumants frivoles, comme ce Sitor Ndour, transhumants aux mains souillées et aux noms inextricables à la forfaiture, donnent à son régime une image abjecte, vile, indécente et répugnante. Qu’ils se taisent ou se taisent ! La transhumance est abominable dans l’esprit public. Elle ne provoque pas seulement dédain. Elle donne aussi au pouvoir un faciès répugnant surtout avec l’insoutenable impunité des voleurs !
Des « voleurs » dans le Macky
En voulant consolider ses acquis, élargir ses bases politiques, fortifier son régime et renforcer sa force politique, Macky Sall a démarché des gens d’autres partis et tendu la main à tous. Malheureusement, il a fini par recevoir dans son parti de faux types, des vomissures du jeu électoral, des prédateurs de finances publiques, des renégats et des fossoyeurs qui incarnent le parjure dans le jeu politique sénégalais.
Ce sont ces Sitor, Awa ndiaye, Ousmane Ngom, et autres mille apostats qui infectent son régime et l’éloignent du Sénégal. Le Macky soupçonne et accuse, mais il compte énormément de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient « Au voleur ! »
Le Piroguier