Déféré au Parquet de Dakar par la Direction des investigations criminelles (DIC), Assane Diouf n’a fait face ni au Procureur ni au juge d’instruction. Dame justice en bonne maîtresse de maison a jugé nécessaire de lui accorder un retour de parquet, le temps de plancher sur le sort qu’il réserve à ce « rebelle ».
Et selon L’Observateur, l’homme dont l’insulte pend à la bouche passera devant le juge d’instruction. Les éléments de la DIC qui ont envoyé leur colis estampé des délits de troubles à l’ordre public injures par le vais d’un système informatique outrage à un ministère du culte et diffamation ont visé des délits qui peuvent garder Assane en prison pour longtemps. Oui, il risque jusqu’à 7 ans de prison de prison ferme. Seulement, le dossier peut connaitre des fluctuations.