En sit- in ce jeudi, les travailleurs de l’Agence de presse sénégalaise (Aps) ont décrété 96 heures de grève renouvelable. Une façon pour eux, de dénoncer le « management catastrophique » de la boîte. Ils réclament, de ce fait, « la prise par les autorités compétentes de mesures transitoires hardies pour (leur) permettre de terminer cette année de la meilleure façon et de respecter (leur) mission de service public. »
Et, cela devra passer par « la fin du processus de restructuration de l’Aps avant le mois de janvier 2019 », assène Bamba Kassé, Secrétaire général du syndicat des travailleurs de l’Aps section Synpics.
Selon le journaliste, les travailleurs de l’Aps en « ont marre » de leurs conditions de travail. « Je ne peux pas comprendre, fulmine-t-il, que dans un pays normal, le président de la République (Macky Sall) donne des instructions et que rien ne soit fait. On est moins nombreux aujourd’hui parce que 44 parmi nous ont été remerciés du jour au lendemain. Les conséquences, c’est que ceux qui sont là, ils travaillent triplement. C’est un miracle aujourd’hui si tous les jours le fil de l’Aps est fourni en dépêches et en contenu. »
Et, cela devra passer par « la fin du processus de restructuration de l’Aps avant le mois de janvier 2019 », assène Bamba Kassé, Secrétaire général du syndicat des travailleurs de l’Aps section Synpics.
Selon le journaliste, les travailleurs de l’Aps en « ont marre » de leurs conditions de travail. « Je ne peux pas comprendre, fulmine-t-il, que dans un pays normal, le président de la République (Macky Sall) donne des instructions et que rien ne soit fait. On est moins nombreux aujourd’hui parce que 44 parmi nous ont été remerciés du jour au lendemain. Les conséquences, c’est que ceux qui sont là, ils travaillent triplement. C’est un miracle aujourd’hui si tous les jours le fil de l’Aps est fourni en dépêches et en contenu. »