C'est finalement ce 18 décembre que le Président Macky Sall aura l'insigne honneur d'avoir sa visite d'Etat en république française.Ce que son prédécesseur n'avait pas réussi à obtenir malgré d'intenses lobbys de tout bord pour imprimer cet honneur dans son agenda.
Pour ceux qui l'ignorent encore, en 1985,le président Abdou Diouf avait eu l'honneur d’être reçu par François Mitterrand.
Soit dit en passant, la visite d'Etat est dans le protocole français le degré le plus élevé des visites devant la visite officielle, le voyage de travail et le voyage privé.
La visite d'État est fixée par un protocole unique et un décorum plus importants : après l’accueil à l’aéroport, le chef d’État étranger est transporté en hélicoptère jusqu’à l’esplanade des invalides avec un passage autour de la tour Eiffel, puis il se rend au palais de l’Élysée accompagné par un détachement de la Garde Républicaine, à cheval ou à moto. L'avenue des Champs Élysée est pavoisée aux couleurs nationales du pays honoré. Un dîner d’État est organisé à l’Élysée, dans la salle des fêtes.Et summum de l'art depuis 1972, l'hôte sera logé, sauf revirement, à l’hôtel de Marigny.
Dakarposte.com a pu glaner que l'implication personnelle du président Abdou Diouf y a été pour beaucoup mais il revient de noter les lobbys avec leurs réseaux invisibles ont joué leur part car le patronnât français qui avait tapé sur la table à cause du sort réservé aux entreprises de l'hexagone a obtenu une nette amélioration des parts de marchés sénégalais comme le Train Express Rapide et récemment la cession du plus important marché de distribution de carburant à Total au détriment de Vivo Energy.
Un ancien diplomate ayant servi à Paris nous renseigne sur les dessous de ses visites qui ne sont que des moyens selon lui d'enrichir des courtiers.Car tous ceux qui interviennent dans le processus sont rétribués soit en nature soit en part de marché.Et de nous confier que ses visites d'état aident le plus souvent à aider aux financements des locataires de l’Élysée pour les élections à venir,avant de préciser:" hormis le faste rien ne différencie une visite d' Etat d'une visite officielle savamment préparée par des diplomates".
Cela nous rappelle une autre phobie très prisée sous nos cieux,le vieux nègre et la médaille.
Pour ceux qui l'ignorent encore, en 1985,le président Abdou Diouf avait eu l'honneur d’être reçu par François Mitterrand.
Soit dit en passant, la visite d'Etat est dans le protocole français le degré le plus élevé des visites devant la visite officielle, le voyage de travail et le voyage privé.
La visite d'État est fixée par un protocole unique et un décorum plus importants : après l’accueil à l’aéroport, le chef d’État étranger est transporté en hélicoptère jusqu’à l’esplanade des invalides avec un passage autour de la tour Eiffel, puis il se rend au palais de l’Élysée accompagné par un détachement de la Garde Républicaine, à cheval ou à moto. L'avenue des Champs Élysée est pavoisée aux couleurs nationales du pays honoré. Un dîner d’État est organisé à l’Élysée, dans la salle des fêtes.Et summum de l'art depuis 1972, l'hôte sera logé, sauf revirement, à l’hôtel de Marigny.
Dakarposte.com a pu glaner que l'implication personnelle du président Abdou Diouf y a été pour beaucoup mais il revient de noter les lobbys avec leurs réseaux invisibles ont joué leur part car le patronnât français qui avait tapé sur la table à cause du sort réservé aux entreprises de l'hexagone a obtenu une nette amélioration des parts de marchés sénégalais comme le Train Express Rapide et récemment la cession du plus important marché de distribution de carburant à Total au détriment de Vivo Energy.
Un ancien diplomate ayant servi à Paris nous renseigne sur les dessous de ses visites qui ne sont que des moyens selon lui d'enrichir des courtiers.Car tous ceux qui interviennent dans le processus sont rétribués soit en nature soit en part de marché.Et de nous confier que ses visites d'état aident le plus souvent à aider aux financements des locataires de l’Élysée pour les élections à venir,avant de préciser:" hormis le faste rien ne différencie une visite d' Etat d'une visite officielle savamment préparée par des diplomates".
Cela nous rappelle une autre phobie très prisée sous nos cieux,le vieux nègre et la médaille.