Mais, ce qu'il faut savoir sur ce subit rush est qu'il y'a trois lots dans cette cohorte de visiteurs.
D'abord, la famille qui demeure sacrée. Pour reprendre un penseur, "quand tout va bien on peut compter sur les autres, quand tout va mal on ne peut compter que sur sa famille". Certes, à quelques exceptions près.
Pour ainsi dire qu'après sa "Diaga" (son dévouée épouse), sa progéniture, Thione Seck reçoit tous azimuts un deuxième lot, somme toute infime, d'amis sincères. Qui, ne ratera aucune visite aux fins de le réconforter, ne ménagera ni argent, ni son temps encore moins autres sacrifices parce qu'habité par un souci permanent de voler à son secours; le temps qu'il recouvre les siens. Ils seront là quoi qu'il advienne. Qu'il pleuve, qu'il soit frisquet, qu'il vente, pleuve...ils viendront, renouvelleront encore et encore leur "permis de visiter" comme on appelle le document délivré au tribunal pour visiter un détenu.
Dans ce lot, on peut loger quelques inconditionnels (des deux sexes) qui ne respire que pour "Papa Thione" comme ils le surnomment affectueusement.
Seulement, il y'a un lot d'hypocrites, qui, comme des vautours, ont gravité et continueront de graviter autour de Thione Seck. Ceux-là mêmes qui le détestaient souverainement (en catimini font aujourd’hui assaut d’éloquence pour paraître le regretter quand hier encore ils le vouaient aux gémonies parce que "compliqué", "joue au plus malin avec ses lecons de morale"etc...
Venus surtout voir s'il a prit de l'embonpoint, ou maigri, s'il a fini par devenir aigri, ces hypocrites n'hésiteront guère à pleurer comme des madeleines, bref l'on assistera à la salle des visites à un carnaval de supposés "émotifs" et "pleureuses" indigne même des télénovelas, alors qu'ils /elles souhaitent ardemment (dans leur for intérieur) que Thione Seck dure encore dans les ténèbres, dans ses lugubres dédales.
D'abord, la famille qui demeure sacrée. Pour reprendre un penseur, "quand tout va bien on peut compter sur les autres, quand tout va mal on ne peut compter que sur sa famille". Certes, à quelques exceptions près.
Pour ainsi dire qu'après sa "Diaga" (son dévouée épouse), sa progéniture, Thione Seck reçoit tous azimuts un deuxième lot, somme toute infime, d'amis sincères. Qui, ne ratera aucune visite aux fins de le réconforter, ne ménagera ni argent, ni son temps encore moins autres sacrifices parce qu'habité par un souci permanent de voler à son secours; le temps qu'il recouvre les siens. Ils seront là quoi qu'il advienne. Qu'il pleuve, qu'il soit frisquet, qu'il vente, pleuve...ils viendront, renouvelleront encore et encore leur "permis de visiter" comme on appelle le document délivré au tribunal pour visiter un détenu.
Dans ce lot, on peut loger quelques inconditionnels (des deux sexes) qui ne respire que pour "Papa Thione" comme ils le surnomment affectueusement.
Seulement, il y'a un lot d'hypocrites, qui, comme des vautours, ont gravité et continueront de graviter autour de Thione Seck. Ceux-là mêmes qui le détestaient souverainement (en catimini font aujourd’hui assaut d’éloquence pour paraître le regretter quand hier encore ils le vouaient aux gémonies parce que "compliqué", "joue au plus malin avec ses lecons de morale"etc...
Venus surtout voir s'il a prit de l'embonpoint, ou maigri, s'il a fini par devenir aigri, ces hypocrites n'hésiteront guère à pleurer comme des madeleines, bref l'on assistera à la salle des visites à un carnaval de supposés "émotifs" et "pleureuses" indigne même des télénovelas, alors qu'ils /elles souhaitent ardemment (dans leur for intérieur) que Thione Seck dure encore dans les ténèbres, dans ses lugubres dédales.