Au niveau de l’Alliance pour la République (Apr), la guerre intestine est une véritable réalité sans oublier les querelles de leadership qui font légion. En effet, le parti présidentiel ne parvient pas à rassembler ses plus hauts responsables qui se regardent en chiens de faïence. À la limite, chacun cherche à éliminer l’autre en usant de subterfuges et de lobbies assez puissants.
Et, ce n’est pas pour rien que lors de leur dernière réunion de Secrétariat exécutif national, des langues se sont déliées pour tirer à bout portant sur certains pontes du parti présidentiel. Quelques-uns sont même indiqués du doigt comme n’étant rien d’autres que des «espions» qui travaillent à la perte de leur mentor, le Président Macky Sall. Ce qui prouve à toute occasion que la formation au pouvoir traverse des zones de fortes turbulences sans oublier un nombre incalculable de frustrés.
À ce propos, il ne faudrait être surpris de voir des défections dans les rangs de l’Apr. C’est ce qu’a révélé un haut responsable de l’Apr à actunet qui démontre le niveau d’une chaude ambiance qui anime leurs rangs. «Il est vraiment dommage d’avoir dans notre parti des personnes aussi irresponsables. Ils ne sont là que pour leurs propres intérêts. Pourtant, la majorité de ces gens n’a jamais cru en Macky Sall. Ils ont attendu de voir qu’il était près du Palais pour le rejoindre. Et, aujourd’hui, ce sont ces gens-là qui croient pouvoir faire la pluie et le beau temps. Encore une fois, c’est dommage.»
Une occasion pour s’en prendre à quelques-uns. «Vous savez, des gens comme Farba Ngom doivent descendre de leur piédestal. Il pense qu’il peut tout dire, attaquer tout le monde. Ce qui est encore dommage, c’est avec la complicité de gens qui ne croient en rien et qui acceptent de s’agenouiller devant cet homme qui n’a pas amené deux militants à l’Apr.» Poursuivant, notre interlocuteur de dire : «L’autre problème est que notre chef laisse faire comme si la situation l’arrangeait. Lui-même travaille à mettre de côté des hommes et des femmes qui travaillent sur le terrain et promeut d’autres personnes qui n’en valent pas la peine.»
À l’en croire, cela a créé des vagues de frustrations qui ne seront pas sans conséquences. «Ce qui est sûr, si rien n’est corrigé, l’on risque d’avoir des défections. Des gens vont partir. Car, d’ici 2019, des leaders vont émerger et ne manqueront pas de recevoir des responsables de notre parti et de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar.» Ce qui veut dire le parti présidentiel fait véritablement face à des problèmes internes d’une gravité assez extrême.
Et, ce n’est pas pour rien que lors de leur dernière réunion de Secrétariat exécutif national, des langues se sont déliées pour tirer à bout portant sur certains pontes du parti présidentiel. Quelques-uns sont même indiqués du doigt comme n’étant rien d’autres que des «espions» qui travaillent à la perte de leur mentor, le Président Macky Sall. Ce qui prouve à toute occasion que la formation au pouvoir traverse des zones de fortes turbulences sans oublier un nombre incalculable de frustrés.
À ce propos, il ne faudrait être surpris de voir des défections dans les rangs de l’Apr. C’est ce qu’a révélé un haut responsable de l’Apr à actunet qui démontre le niveau d’une chaude ambiance qui anime leurs rangs. «Il est vraiment dommage d’avoir dans notre parti des personnes aussi irresponsables. Ils ne sont là que pour leurs propres intérêts. Pourtant, la majorité de ces gens n’a jamais cru en Macky Sall. Ils ont attendu de voir qu’il était près du Palais pour le rejoindre. Et, aujourd’hui, ce sont ces gens-là qui croient pouvoir faire la pluie et le beau temps. Encore une fois, c’est dommage.»
Une occasion pour s’en prendre à quelques-uns. «Vous savez, des gens comme Farba Ngom doivent descendre de leur piédestal. Il pense qu’il peut tout dire, attaquer tout le monde. Ce qui est encore dommage, c’est avec la complicité de gens qui ne croient en rien et qui acceptent de s’agenouiller devant cet homme qui n’a pas amené deux militants à l’Apr.» Poursuivant, notre interlocuteur de dire : «L’autre problème est que notre chef laisse faire comme si la situation l’arrangeait. Lui-même travaille à mettre de côté des hommes et des femmes qui travaillent sur le terrain et promeut d’autres personnes qui n’en valent pas la peine.»
À l’en croire, cela a créé des vagues de frustrations qui ne seront pas sans conséquences. «Ce qui est sûr, si rien n’est corrigé, l’on risque d’avoir des défections. Des gens vont partir. Car, d’ici 2019, des leaders vont émerger et ne manqueront pas de recevoir des responsables de notre parti et de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar.» Ce qui veut dire le parti présidentiel fait véritablement face à des problèmes internes d’une gravité assez extrême.