Fille d'une grande dame, répondant au nom de Madjiguène (ex cadre à South African Airways), Amy Sarr Fall tire beaucoup de caractéristiques maitresses, c'est à dire des vertus de sa maman.
Des qualités qui font le charme d'Amy Sarr Fall fille du célèbre Pape Fall propriétaire de la boutique "Amy Boutique".
Avis sans frais: mariée à l'époque à un certain Bara, la belle plante patronne de la revue est un coeur à prendre. Comprenne qui pourra!
Casanière ou presque, Amy Sarr reste constamment cloitrée dans sa niche du centre ville de Dakar; un bel appartement (qui appartient à son pater). Il nous revient qu'elle est absorbée à plein temps par son magazine.
Ayant vu le jour à Dakar où elle fait ses études primaire et secondaire, Amy Sarr Fall a par la suite rejoint Paris pour poursuivre des études supérieures à l’Université Américaine de Paris (UAP). Passionnée par la communication, elle se lance dans la poursuite d’une double licence en Communication Internationale et en Administration des Affaires Internationales. A l'époque, elle était la seule étudiante sénégalaise admise à l'établissement.
Son dynamisme séduit l'administration de l'université qui décide de lancer une campagne de communication au Sénégal, autour de sa personne, dans le but d'inciter ses jeunes compatriotes à la rejoindre. "Je compte sur vous pour m'aider à hisser plus haut et plus loin le lourd drapeau du Sénégal.", avait-elle alors dit.
En mi-parcours, elle est sélectionnée pour effectuer un stage au Haut conseil de la francophonie aux côtés d'éminentes autorités à l'instar du secrétaire général de l'organisation, SEM Abdou DIOUF ou encore M. Boutros Boutros Ghali, ancien SG des Nations, qui l'aideront à acquérir une expérience significative. Ce stage lui aura permis de rencontrer de grands décideurs de ce monde à l’image de Michel Camdessus (ancien Directeur du Fmi) mais aussi d'entamer une profonde réflexion sur la problématique du développement en Afrique. Dans le but d'encourager Amy à croire toujours en elle, le Président Abdou Diouf appellera son père resté à Dakar pour le féliciter et lui demander de continuer à accompagner sa fille car elle pouvait aller loin.
Vers la fin de ses études au sein de l’Université américaine Paris, une grande université qui regroupe plus de 100 nationalités et à peu près 1000 étudiants, elle décide de tenter sa chance aux États-Unis. Au pays de l’Oncle Sam, Mme Amy Sarr Fall décroche un emploi dans une des plus grandes entreprises d’IT comme responsable de communication, chargée,aussi, de l'expansion des activités du groupe dans le tri-state area. Cela lui permettra de travailler à partir de New York avec d'autres etats de la côte-est américaine, notamment le Connecticut, le New Jersey mais aussi la Floride.
En 2006, période à laquelle le Président Obama se présente aux élections présidentielles, elle rencontre le candidat lors d’une conférence qui se tenait à New York. Inspirée depuis ce jour, elle est convaincue que le changement viendra des populations. La jeune sénégalaise qui est certaine de pouvoir jouer un rôle dans l’élection d’Obama, crée un blog “World for Obama, citoyens du monde» qui mobilise très vite plus de 3000 personnes sur facebook. Ses prises de position gagnent l'attention du New York Times qui la citera comme commentaire du jour.
Par la suite, elle décide de retourner à Paris pour obtenir une maitrise en communication globale. Son parcours suscitera là aussi l'intérêt de deux des plus grandes structures de communication européennes: Landor et Publicis. Elle décide de rejoindre Publicis. Là-bas, elle s'investit dans d'importantes missions confiées entre autres par l'Union Européenne, Warren Buffet, etc. Il s'agissait aussi d'aider des multinationales affectées par la crise économique à se relever ou à réussir leur entrée dans des bourses européennes. Elle participe au lancement de la campagne Global Zero aux cotés de l'ancien Président américain Jimmy Carter, Richard Branson, CEO du groupe Virgin, la Reine Noor de Jordanie, etc. Global Zero est une initiative internationale soutenue par le Président Obama et dont l'objectif est de parvenir à une élimination des armes nucléaires.
Fin 2009, elle décide de rentrer à Dakar pour s'investir dans le développement de son pays, convaincue que sa place se trouvait auprès des siens. Elle crée la société de communication pour accompagner des écoles et hôpitaux à élaborer des campagnes de communication efficaces.
En 2009, elle organise le lancement de la Coalition HPD-PNLP pour optimiser les efforts de lutte contre le paludisme. L’initiative enregistre un franc succès. En 2010, elle lance Intelligences Magazine, convaincue qu'elle pouvait mener plus loin son action de sensibilisation.
Des qualités qui font le charme d'Amy Sarr Fall fille du célèbre Pape Fall propriétaire de la boutique "Amy Boutique".
Avis sans frais: mariée à l'époque à un certain Bara, la belle plante patronne de la revue est un coeur à prendre. Comprenne qui pourra!
Casanière ou presque, Amy Sarr reste constamment cloitrée dans sa niche du centre ville de Dakar; un bel appartement (qui appartient à son pater). Il nous revient qu'elle est absorbée à plein temps par son magazine.
Ayant vu le jour à Dakar où elle fait ses études primaire et secondaire, Amy Sarr Fall a par la suite rejoint Paris pour poursuivre des études supérieures à l’Université Américaine de Paris (UAP). Passionnée par la communication, elle se lance dans la poursuite d’une double licence en Communication Internationale et en Administration des Affaires Internationales. A l'époque, elle était la seule étudiante sénégalaise admise à l'établissement.
Son dynamisme séduit l'administration de l'université qui décide de lancer une campagne de communication au Sénégal, autour de sa personne, dans le but d'inciter ses jeunes compatriotes à la rejoindre. "Je compte sur vous pour m'aider à hisser plus haut et plus loin le lourd drapeau du Sénégal.", avait-elle alors dit.
En mi-parcours, elle est sélectionnée pour effectuer un stage au Haut conseil de la francophonie aux côtés d'éminentes autorités à l'instar du secrétaire général de l'organisation, SEM Abdou DIOUF ou encore M. Boutros Boutros Ghali, ancien SG des Nations, qui l'aideront à acquérir une expérience significative. Ce stage lui aura permis de rencontrer de grands décideurs de ce monde à l’image de Michel Camdessus (ancien Directeur du Fmi) mais aussi d'entamer une profonde réflexion sur la problématique du développement en Afrique. Dans le but d'encourager Amy à croire toujours en elle, le Président Abdou Diouf appellera son père resté à Dakar pour le féliciter et lui demander de continuer à accompagner sa fille car elle pouvait aller loin.
Vers la fin de ses études au sein de l’Université américaine Paris, une grande université qui regroupe plus de 100 nationalités et à peu près 1000 étudiants, elle décide de tenter sa chance aux États-Unis. Au pays de l’Oncle Sam, Mme Amy Sarr Fall décroche un emploi dans une des plus grandes entreprises d’IT comme responsable de communication, chargée,aussi, de l'expansion des activités du groupe dans le tri-state area. Cela lui permettra de travailler à partir de New York avec d'autres etats de la côte-est américaine, notamment le Connecticut, le New Jersey mais aussi la Floride.
En 2006, période à laquelle le Président Obama se présente aux élections présidentielles, elle rencontre le candidat lors d’une conférence qui se tenait à New York. Inspirée depuis ce jour, elle est convaincue que le changement viendra des populations. La jeune sénégalaise qui est certaine de pouvoir jouer un rôle dans l’élection d’Obama, crée un blog “World for Obama, citoyens du monde» qui mobilise très vite plus de 3000 personnes sur facebook. Ses prises de position gagnent l'attention du New York Times qui la citera comme commentaire du jour.
Par la suite, elle décide de retourner à Paris pour obtenir une maitrise en communication globale. Son parcours suscitera là aussi l'intérêt de deux des plus grandes structures de communication européennes: Landor et Publicis. Elle décide de rejoindre Publicis. Là-bas, elle s'investit dans d'importantes missions confiées entre autres par l'Union Européenne, Warren Buffet, etc. Il s'agissait aussi d'aider des multinationales affectées par la crise économique à se relever ou à réussir leur entrée dans des bourses européennes. Elle participe au lancement de la campagne Global Zero aux cotés de l'ancien Président américain Jimmy Carter, Richard Branson, CEO du groupe Virgin, la Reine Noor de Jordanie, etc. Global Zero est une initiative internationale soutenue par le Président Obama et dont l'objectif est de parvenir à une élimination des armes nucléaires.
Fin 2009, elle décide de rentrer à Dakar pour s'investir dans le développement de son pays, convaincue que sa place se trouvait auprès des siens. Elle crée la société de communication pour accompagner des écoles et hôpitaux à élaborer des campagnes de communication efficaces.
En 2009, elle organise le lancement de la Coalition HPD-PNLP pour optimiser les efforts de lutte contre le paludisme. L’initiative enregistre un franc succès. En 2010, elle lance Intelligences Magazine, convaincue qu'elle pouvait mener plus loin son action de sensibilisation.