Présidente du parti politique Car/Leneen, elle trouve que «le constat est unanime : école en perdition, chômage endémique, insécurité, brutalité et dictature avec son lot de brimades et persécutions, corruption, gabegie, népotisme etc. Ni considération, ni équité. Un déficit de bonne gouvernance fait primer les intérêts particuliers sur l’intérêt général. C’est la course effrénée aux prébendes», dénonce-t-elle.
Pis, elle indique même qu’«une chasse aux sorcières aux allures de règlement de comptes est instaurée impactant négativement les projets entrepreneuriaux et, par ricochet, entrainant une souffrance et une déliquescence de l’entreprenariat populaire. On ne pense qu’à sa réélection, on favorise sa famille et ses amis. Les principes sont dévoyés et les pratiques contredisent les engagements. Le climat politique est malsain», enfonce-elle.