Pour Aminata Touré, l’envoyée spéciale du chef de l’Etat, a fait ce jeudi à Gorée un plaidoyer pour le non rétablissement de la peine de mort au Sénégal, car, pour l’ancien Premier ministre de Macky Sall, «seul Dieu a le privilège de prendre la vie ».
«Par rapport à cette série d’événements qui se sont passés, j’estime et le Président de la République l’a dit hier lors du conseil des ministres qu’il y aura certainement un dispositif judiciaire qui prendra en compte cette insécurité mais moi, je reste une militante de l’abolition de la peine de mort parce que je considère que seul Dieu a le privilège de prendre la vie. Chaque fois qu’il y a une mort d’homme, il y a beaucoup de douleur, de peine et d’émotion. A mon avis, c’est le rôle des élites de rassurer et de dire que le Sénégal reste toutefois un pays où la sécurité est quand même sacrée.», a expliqué Aminata Touré.
«Je suis convaincue que le Sénégal a atteint un niveau de civilisation où on a dépassé œil pour œil, dent pour dent. Néanmoins, il faut un dispositif comme on le connait auprès de certains Etats dans certains crimes c’est-à-dire la perpétuité. Telle est mon opinion personnelle et je reste militante de l’abolition de la peine de mort. Il y a des moments difficiles, pendant lesquels nos sentiments prennent le dessus. C’est très douloureux ce qui se passe, mais je pense que dans une société qui a fait abolir la peine de mort, on doit persévérer tout en renforçant le dispositif de sécurité, mais également en cultivant cette culture de la paix et qu’on revoit aussi nos valeurs sociales », a ajpouté Mimi Touré.
Celle qui est pressentie comme Vice-sécrétaire général des Nations Unies a aussi rejoint Macky Sall qui critiquait le fait de demander à certains Sénégalais ce qu’ils n’avaient pas, comme pour les dots mirobolantes. En effet, ZAminatata Touré a indexé « la pression sociale certainement dans une société où les ressources sont rares peut entrainer également la violence. Il faudrait peut-être qu’on y repense et que nous réagissions à notre niveau de ressource. C’est également un élément de stabilisation et de préservation de la paix. »
Massène DIOP Leral.net
«Par rapport à cette série d’événements qui se sont passés, j’estime et le Président de la République l’a dit hier lors du conseil des ministres qu’il y aura certainement un dispositif judiciaire qui prendra en compte cette insécurité mais moi, je reste une militante de l’abolition de la peine de mort parce que je considère que seul Dieu a le privilège de prendre la vie. Chaque fois qu’il y a une mort d’homme, il y a beaucoup de douleur, de peine et d’émotion. A mon avis, c’est le rôle des élites de rassurer et de dire que le Sénégal reste toutefois un pays où la sécurité est quand même sacrée.», a expliqué Aminata Touré.
«Je suis convaincue que le Sénégal a atteint un niveau de civilisation où on a dépassé œil pour œil, dent pour dent. Néanmoins, il faut un dispositif comme on le connait auprès de certains Etats dans certains crimes c’est-à-dire la perpétuité. Telle est mon opinion personnelle et je reste militante de l’abolition de la peine de mort. Il y a des moments difficiles, pendant lesquels nos sentiments prennent le dessus. C’est très douloureux ce qui se passe, mais je pense que dans une société qui a fait abolir la peine de mort, on doit persévérer tout en renforçant le dispositif de sécurité, mais également en cultivant cette culture de la paix et qu’on revoit aussi nos valeurs sociales », a ajpouté Mimi Touré.
Celle qui est pressentie comme Vice-sécrétaire général des Nations Unies a aussi rejoint Macky Sall qui critiquait le fait de demander à certains Sénégalais ce qu’ils n’avaient pas, comme pour les dots mirobolantes. En effet, ZAminatata Touré a indexé « la pression sociale certainement dans une société où les ressources sont rares peut entrainer également la violence. Il faudrait peut-être qu’on y repense et que nous réagissions à notre niveau de ressource. C’est également un élément de stabilisation et de préservation de la paix. »
Massène DIOP Leral.net