Le ministre de la Formation professionnelle Amadou Moustapha Ndieck Sarré se désole de la situation des marchands ambulants déguerpis, hier, à Sandaga. Il s’exprimait lors d’un panel sur l’énergie où il a été interpellé sur cette question d’actualité. Le porte-parole du gouvernement pense que ce problème douloureux des ambulants mérite bien de trouver une solution permanente.
Pour lui, c’est un problème douloureux. « Quand on a une population aussi jeune et aussi brave qui cherche à trouver les moyens de vivre et de survivre, il y a lieu de lui trouver des solutions, mais des solutions qui soient en adéquation avec un cadre de vie moderne ».
Il informe d’ailleurs que le chef de l’Etat a instruit au gouvernement de chercher la solution et de la trouver avant d’ajouter qu’il y’a lieu de prendre en charge non seulement la formation de ces jeunes là, mais de prendre en charge l’industrialisation du Sénégal pour permettre à chacun de ces jeunes de trouver un emploi décent . De l’avis du ministre, « il ne s’agit pas de les déguerpir de force, il faut d’abord discuter avec les jeunes, parler avec eux, trouver ensemble des solutions. Ce qui est tout à fait normal, c'est de rendre Dakar, en tout cas de donner à Dakar, une image reluisante. Et, il faut aussi reconnaître que l’implantation anarchique des tabliers et des autres occupations de rues ne donnent pas à Dakar ce visage-là. Le gouvernement est en train de discuter avec ses localités pour que ces discussions aient lieu », informe-t-il.
Cependant, le ministre salue l’engagement du premier ministre car il fallait donner des gages aux jeunes, leur dire que nous allons discuter avec eux tout en leur faisant comprendre que justement il faut trouver une solution. C’est ce que le premier ministre a fait. Pour lui, « Le premier ministre n’a pas été au courant de la méthode utilisée pour déguerpir ses tabliers et ses ambulants. Le premier ministre coordonne l’action du gouvernement mais quand une circulaire sort, il y a la circulaire mais il y a également la façon d’appliquer cette circulaire-là. Le premier ministre a simplement dit qu’il était surpris de voir que l’application de cette circulaire là n’était pas en adéquation à ce qu’il pensait lui et à quoi le président pensait », précise-t-il.
DAKARACTU
Pour lui, c’est un problème douloureux. « Quand on a une population aussi jeune et aussi brave qui cherche à trouver les moyens de vivre et de survivre, il y a lieu de lui trouver des solutions, mais des solutions qui soient en adéquation avec un cadre de vie moderne ».
Il informe d’ailleurs que le chef de l’Etat a instruit au gouvernement de chercher la solution et de la trouver avant d’ajouter qu’il y’a lieu de prendre en charge non seulement la formation de ces jeunes là, mais de prendre en charge l’industrialisation du Sénégal pour permettre à chacun de ces jeunes de trouver un emploi décent . De l’avis du ministre, « il ne s’agit pas de les déguerpir de force, il faut d’abord discuter avec les jeunes, parler avec eux, trouver ensemble des solutions. Ce qui est tout à fait normal, c'est de rendre Dakar, en tout cas de donner à Dakar, une image reluisante. Et, il faut aussi reconnaître que l’implantation anarchique des tabliers et des autres occupations de rues ne donnent pas à Dakar ce visage-là. Le gouvernement est en train de discuter avec ses localités pour que ces discussions aient lieu », informe-t-il.
Cependant, le ministre salue l’engagement du premier ministre car il fallait donner des gages aux jeunes, leur dire que nous allons discuter avec eux tout en leur faisant comprendre que justement il faut trouver une solution. C’est ce que le premier ministre a fait. Pour lui, « Le premier ministre n’a pas été au courant de la méthode utilisée pour déguerpir ses tabliers et ses ambulants. Le premier ministre coordonne l’action du gouvernement mais quand une circulaire sort, il y a la circulaire mais il y a également la façon d’appliquer cette circulaire-là. Le premier ministre a simplement dit qu’il était surpris de voir que l’application de cette circulaire là n’était pas en adéquation à ce qu’il pensait lui et à quoi le président pensait », précise-t-il.
DAKARACTU