La Cellule de crise et d’aide psychologique aux familles des pèlerins sénégalais, mise en place suite à la bousculade de Mina, révèle un nouveau bilan. Ainsi, le bilan qui était de 54 morts a évolué jusqu’à 61 décès.
Quatre (4) disparus ont été enregistrés. Des révélations faites au cours d’une conférence de presse tenue au Ministère des Affaires Etrangères ce vendredi.
Amadou Kébé, coordonnateur de la cellule de crise, indique que les chiffres doivent être manipulés avec méfiance. Car ils peuvent, d’un instant à l’autre, progresser à une vitesse supérieure.
«Il faut toujours manier les chiffres avec précaution parce que dans la situation où nous nous trouvons les chiffres évoluent à une vitesse très rapide. Peut-être même au moment je suis en train de parler les chiffres sont dépassés. D’après les dernières communications que nous avons eues avec Djeddah, il y a une heure avant le point de presse (vers 17 heures ce vendredi : Ndlr), 61 cas de décès et 4 disparus ont été enregistrés. Les recherches se poursuivent et nos équipes sont encore sur le terrain», dit-il.
«Avec l’aide des autorités saoudiennes, nos équipes sur place gèrent la situation par des visites sur le terrain, dans les morgues et les hôpitaux pour identifier les sénégalais qui ont perdu la vie suite au drame de Mina.
Les autorités saoudiennes ont commencé à identifier les cadavres qui sont à leur disposition par la biométrie. C’est-à-dire en prélevant leurs empreintes digitales et en les comparant à celles qui ont été enregistré à l’entrée des pèlerins au niveau de l’aéroport de Médine et de Djeddah», ajoute-t-il.
Il a révélé que les pèlerins ayant subi un traumatisme seront pris en charge gratuitement par la cellule d’appui psychologique, l’Etat ayant dégagé des moyens financiers pour cela.
Concernant les blessés, le chiffre n’a pas évolué. Sur les 18 blessés enregistrés, les 14 se portent bien et 2 sont hospitalisés en Arabie Saoudite. Les 2 autres sont pris en charge par la commission médicale du commissariat au pèlerinage.
Quatre (4) disparus ont été enregistrés. Des révélations faites au cours d’une conférence de presse tenue au Ministère des Affaires Etrangères ce vendredi.
Amadou Kébé, coordonnateur de la cellule de crise, indique que les chiffres doivent être manipulés avec méfiance. Car ils peuvent, d’un instant à l’autre, progresser à une vitesse supérieure.
«Il faut toujours manier les chiffres avec précaution parce que dans la situation où nous nous trouvons les chiffres évoluent à une vitesse très rapide. Peut-être même au moment je suis en train de parler les chiffres sont dépassés. D’après les dernières communications que nous avons eues avec Djeddah, il y a une heure avant le point de presse (vers 17 heures ce vendredi : Ndlr), 61 cas de décès et 4 disparus ont été enregistrés. Les recherches se poursuivent et nos équipes sont encore sur le terrain», dit-il.
«Avec l’aide des autorités saoudiennes, nos équipes sur place gèrent la situation par des visites sur le terrain, dans les morgues et les hôpitaux pour identifier les sénégalais qui ont perdu la vie suite au drame de Mina.
Les autorités saoudiennes ont commencé à identifier les cadavres qui sont à leur disposition par la biométrie. C’est-à-dire en prélevant leurs empreintes digitales et en les comparant à celles qui ont été enregistré à l’entrée des pèlerins au niveau de l’aéroport de Médine et de Djeddah», ajoute-t-il.
Il a révélé que les pèlerins ayant subi un traumatisme seront pris en charge gratuitement par la cellule d’appui psychologique, l’Etat ayant dégagé des moyens financiers pour cela.
Concernant les blessés, le chiffre n’a pas évolué. Sur les 18 blessés enregistrés, les 14 se portent bien et 2 sont hospitalisés en Arabie Saoudite. Les 2 autres sont pris en charge par la commission médicale du commissariat au pèlerinage.