La tête de liste de Benno Bokk Yakaar de Dakar a sillonné certains quartiers de la capitale ce dimanche pour appeler les populations à la non-violence. En effet, à la Médina, Sicap Baobab comme aux Parcelles Assainies en passant par Derklé, Amadou Ba a plaidé pour un vote apaisé le 30 juillet prochain pour le bien du Sénégal.
Amadou Ba a drainé du monde ce dimanche dans le cadre de sa campagne pour gagner la confiance de l’électorat de Dakar. En effet, la tête de liste de la coalition présidentielle qui s’est d’abord rendu à Liberté 6 a appelé les travailleurs des Impôts et Domaines à informer les habitants de leur cité sur les réalisations du chef de l’Etat car, affirme-t-il, si lesdites réalisations sont prises en compte par les Sénégalais, il n’a aucun doute quant à son issue.
Ralliant la commune de la Médina, M. Ba a appelé les administrés de Bamba Fall à tourner le dos à la violence à laquelle les partisans de l’opposition les appellent car, ces derniers «qui n’ont aucun programme à proposer, se réfugient derrière des troubles pour essayer de noyer le poisson».
Amadou Ba cite les maires qui n'ont rien fait pour leurs populations
Ralliant la commune de la Médina, M. Ba a appelé les administrés de Bamba Fall à tourner le dos à la violence à laquelle les partisans de l’opposition les appellent car, ces derniers «qui n’ont aucun programme à proposer, se réfugient derrière des troubles pour essayer de noyer le poisson».
Amadou Ba cite les maires qui n'ont rien fait pour leurs populations
Cette étape a aussi servi de tribune au chef de file de Dakar de la coalition présidentielle pour lancer des piques aux maires de Taxawu Dakar qui sont pour la plupart dans la liste de Manko Taxawu Senegaal : «Il faut réclamer aux maires de la Médina, des Parcelles Assainies, de Grand Yoff, de Mermoz/Sacré-Cœur… de présenter leur bilan car, «même si on vous confie 25 francs CFA, vous vous devez de présenter ce que vous avez acquis avec cette somme». Mais, trouve-t-il, ces derniers, pour n’avoir rien fait dans leur commune, ne présenteront «jamais rien».
A Derklé, M. Ba a informé les populations que le problème du terrain de Castors était définitivement réglé, et qu’il ne restait plus que les derniers réglages qui interviendront dans les 48 heures.
Terminant son périple par l’Unité 11 des Parcelles Assainies, le ministre de l’Economie des Finances et du Plan qui a été accueilli par une foule monstre venue répondre à l’appel du lutteur Khadim Gadiaga, a réitéré son appel à la sérénité et a recommandé aux Parcellois de retirer massivement leur cartes d’identité biométrique et de voter tôt, le jour du scrutin, afin d’assurer à la coalition présidentielle, une victoire écrasante au soir du 30 juillet prochain.
Bémol de la journée du dimanche
La tête de liste de BBY, invité par le transporteur Lobatt Fall au stade Iba Mar Diop, n’a pas trouvé sur place beaucoup de monde. Interrogés, les militants qui commençaient à rallier leur véhicule ont affirmé que leur sécurité n’était plus assurée du fait du Tohu-bohu causée justement par les nombreuses «factions » de préposés à la sécurité sur place.
A Derklé, M. Ba a informé les populations que le problème du terrain de Castors était définitivement réglé, et qu’il ne restait plus que les derniers réglages qui interviendront dans les 48 heures.
Terminant son périple par l’Unité 11 des Parcelles Assainies, le ministre de l’Economie des Finances et du Plan qui a été accueilli par une foule monstre venue répondre à l’appel du lutteur Khadim Gadiaga, a réitéré son appel à la sérénité et a recommandé aux Parcellois de retirer massivement leur cartes d’identité biométrique et de voter tôt, le jour du scrutin, afin d’assurer à la coalition présidentielle, une victoire écrasante au soir du 30 juillet prochain.
Bémol de la journée du dimanche
La tête de liste de BBY, invité par le transporteur Lobatt Fall au stade Iba Mar Diop, n’a pas trouvé sur place beaucoup de monde. Interrogés, les militants qui commençaient à rallier leur véhicule ont affirmé que leur sécurité n’était plus assurée du fait du Tohu-bohu causée justement par les nombreuses «factions » de préposés à la sécurité sur place.