Dakarmidi – Sa descente aux enfers n’aura pas eu lieu finalement comme le souhaitait une bonne partie de ses détracteurs. Au fil du temps, Macky Sall aura vite compris que l’argentier de l’Etat est d’une grande rigueur dans son travail maniant avec une haute technicité les rudiments qui fondent une économie en bonne santé à telle enseigne que ni le FMI ni la Banque mondiale n’auront rien à lui reprocher.
Et cette forme disciplinée de gérer l’économie du pays, lui vaut l’attention particulière du Président de la République. Et pourtant que de langues se sont déliées pour casser le ruban de confiance qui doit en permanence régner entre un Chef d’Etat et son ministre des Finances? Depuis quelques jours, dans les artères de Dakar, les murs sont vêtus d’affiches qui montrent le Président Macky Sall côte à côte avec son ministre.
Le slogan qui illustre l’affiche parle d’espoir, d’union et de challenge. Rien de mal à ce que les deux hommes soient présentés sur une affiche en toute symbiose. En pleine tempête économique, Amadou Ba aura réussi à hisser le taux de croissance à plus 6% alors qu’il l’avait trouvé au bord du désastre frisant les 3%. Le Sénégal compte tirer ce taux dans quelques mois à 7%. Et dans toujours l’optique du rêve d’émergence, sous une envie débordante, les spécialistes des questions économiques africaines établissent dans leurs statistiques prévisionnelles un taux de croissance pour le Sénégal à deux chiffres d’ici à 2025.
Et cela est fort possible si le pays arrive à contenir sa dette intérieure, à harmoniser son agriculture et son industrie et à maîtriser l’inflation. Et c’est cela la vraie bataille du ministre des finances, dont les efforts ont été grandement salués par les institutions financières internationales. Cette santé économique en plus de la stabilité sociale du pays lui donnent une certaine crédibilité dans les marchés financiers et auprès des gros investisseurs.
Le Sénégal a levé récemment pour la quatrième fois, 1,1 milliards de dollars soit 660 milliards de francs CFA sur les marchés internationaux, et cela n’a été possible que grâce à la rigueur et au sérieux des services du ministère, boostés par le génie et le flair de la tête de liste de BBY à Dakar.
Cette Eurobond servira davantage à impulser l’économie du pays et à infuser aux différents secteurs clés de l’économie une dose d’oxygène qui, sans nul doute, servira d’outils capables de matérialiser l’émergence du pays, en attendant que le gaz et le pétrole fassent pénétrer le Sénégal dans le cercle fermé des puissances mondiales. Dans l’esprit d’Amadou Ba et dans le coeur de Macky Sall, tout est possible, si ensemble nous décidons, main dans la main, avec la ferme volonté, de déclencher chez chaque sénégalais une envie folle d’aller au-delà du rêve.
La rédaction
Et cette forme disciplinée de gérer l’économie du pays, lui vaut l’attention particulière du Président de la République. Et pourtant que de langues se sont déliées pour casser le ruban de confiance qui doit en permanence régner entre un Chef d’Etat et son ministre des Finances? Depuis quelques jours, dans les artères de Dakar, les murs sont vêtus d’affiches qui montrent le Président Macky Sall côte à côte avec son ministre.
Le slogan qui illustre l’affiche parle d’espoir, d’union et de challenge. Rien de mal à ce que les deux hommes soient présentés sur une affiche en toute symbiose. En pleine tempête économique, Amadou Ba aura réussi à hisser le taux de croissance à plus 6% alors qu’il l’avait trouvé au bord du désastre frisant les 3%. Le Sénégal compte tirer ce taux dans quelques mois à 7%. Et dans toujours l’optique du rêve d’émergence, sous une envie débordante, les spécialistes des questions économiques africaines établissent dans leurs statistiques prévisionnelles un taux de croissance pour le Sénégal à deux chiffres d’ici à 2025.
Et cela est fort possible si le pays arrive à contenir sa dette intérieure, à harmoniser son agriculture et son industrie et à maîtriser l’inflation. Et c’est cela la vraie bataille du ministre des finances, dont les efforts ont été grandement salués par les institutions financières internationales. Cette santé économique en plus de la stabilité sociale du pays lui donnent une certaine crédibilité dans les marchés financiers et auprès des gros investisseurs.
Le Sénégal a levé récemment pour la quatrième fois, 1,1 milliards de dollars soit 660 milliards de francs CFA sur les marchés internationaux, et cela n’a été possible que grâce à la rigueur et au sérieux des services du ministère, boostés par le génie et le flair de la tête de liste de BBY à Dakar.
Cette Eurobond servira davantage à impulser l’économie du pays et à infuser aux différents secteurs clés de l’économie une dose d’oxygène qui, sans nul doute, servira d’outils capables de matérialiser l’émergence du pays, en attendant que le gaz et le pétrole fassent pénétrer le Sénégal dans le cercle fermé des puissances mondiales. Dans l’esprit d’Amadou Ba et dans le coeur de Macky Sall, tout est possible, si ensemble nous décidons, main dans la main, avec la ferme volonté, de déclencher chez chaque sénégalais une envie folle d’aller au-delà du rêve.
La rédaction