Les principaux pays exportateurs de gaz, réunis au sommet à Alger, se sont entendus sur la nécessité de maintenir un dialogue qualifié de solide entre producteurs et consommateurs « en vue d'assurer la sécurité de la demande et la stabilité du marché ».
Salah Slimani, analyste économique, parle d'un certain consensus entre ces dix-neuf pays : « La nécessité d'investir pour produire plus de gaz. Le gaz est une source propre, est une source de transition vers les énergies renouvelables, le gaz n'est pas en contradiction avec les exigences climatiques. »
Les Etats exportateurs du gaz disent craindre que les dispositions prises pour lutter contre le changement climatique entravent les investissements dans des projets gaziers.
« Pas facile d'analyser un marché gazier »
L'expert en énergie Nourreddine Leghliel estime qu'il faut être prudent : « Il ne faut pas miser des sommes colossales sur une matière première dont le prix est extrêmement volatile. Le prix peut chuter de 50% en l'espace de deux semaines. C'est dû au facteur climatologique en plus de la spéculation. Et c'est la raison pour laquelle ce n’est pas facile d'analyser un marché gazier par rapport au marché pétrolier. »
Les pays exportateurs du gaz ont appelé à sécuriser les installations « sensibles » de cette énergie et ont exprimé des inquiétudes sur « la volatilité récurrente de la demande du gaz naturel » qui affecte, selon eux, « négativement la performance économique mondiale »
rfi
Salah Slimani, analyste économique, parle d'un certain consensus entre ces dix-neuf pays : « La nécessité d'investir pour produire plus de gaz. Le gaz est une source propre, est une source de transition vers les énergies renouvelables, le gaz n'est pas en contradiction avec les exigences climatiques. »
Les Etats exportateurs du gaz disent craindre que les dispositions prises pour lutter contre le changement climatique entravent les investissements dans des projets gaziers.
« Pas facile d'analyser un marché gazier »
L'expert en énergie Nourreddine Leghliel estime qu'il faut être prudent : « Il ne faut pas miser des sommes colossales sur une matière première dont le prix est extrêmement volatile. Le prix peut chuter de 50% en l'espace de deux semaines. C'est dû au facteur climatologique en plus de la spéculation. Et c'est la raison pour laquelle ce n’est pas facile d'analyser un marché gazier par rapport au marché pétrolier. »
Les pays exportateurs du gaz ont appelé à sécuriser les installations « sensibles » de cette énergie et ont exprimé des inquiétudes sur « la volatilité récurrente de la demande du gaz naturel » qui affecte, selon eux, « négativement la performance économique mondiale »
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