La question vaut son pesant d'or. Combien de fois des supports médiatique de Futurs Médias dont Youssou Ndour tient les manettes ont-ils "tiré" à bout portant sur des "yayou diambour" ou "baayou diambour" comme tente de le dénoncer la star mondiale dans son dernier opus?
Par exemple, l'Obs a pourtant ébruité les démêlées avec Dame Justice du chanteur Thione Seck et qui ont été repris par son site entre autres réseaux sociaux. Thione, qui a été écharpé d'injures sur les redoutés commentaires des réseaux sociaux, n'est-il pas le papa d'autrui?
Il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que pour cette fois, Youssou Ndour, qui éprouve du Respect pour son défunt musicien, "has no respect" (n'a aucun respect), malheureusement, pour les professionnels qui évoluent dans les réseaux sociaux.
Autre exemple, en combattant farouchement au vu et au su de tout le monde l'ancien Président de la République, Me Wade, au seuil de la deuxième alternance du Sénégal, n'est-ce pas que You "himself" s'est servi des réseaux sociaux?
Abdoulaye Wade "dou baayou diambour xana" (n'est-il pas le papa d'autrui)?
Cela dit, on est tous confronté au deuil à un moment ou un autre de notre vie. Un parent, un frère, un compagnon, un enfant, un ami... En fonction de la proximité de la personne disparue, cette épreuve peut s’avérer plus ou moins dure à surmonter.
Les professionnels de l'univers culturel le savent: les tragédies intimes sont une source d'inspiration paradoxale pour les grands artistes à l'image de Youssou Ndour : le perte de l'être cher, aimé, d'un ami, ... sont autant de sujets que leur art sublime.
En tous les cas, ce titre dédié à son regretté bassiste Habib Faye émeut, a fini de séduire plus d'un. Les paroles, empruntes de regrets, laissent néanmoins poindre que Youssou Ndour a, du moins semble avoir du mal à faire le deuil de son "ami". Ce son bouleverse et transporte bien au delà des mots.
Et, les paroles sont quelquefois étouffés par la peine que semble ressentir encore ce virtuose du chant. Reste à espérer que ce son dédié à Habib Faye puisse être la source d’un peu de réconfort, d'abord pour l'auteur, mais aussi et surtout pour les parents, proches, amis, sympathisants, inconditionnels de l'illustre disparu.
Bref, par sa texture, par sa composition comme par ses thématiques, le nouvel album de "l'enfant prodige de la Médina" est une création pharaonique, parce débordant de générosité, d’envies en tous genres, d’altruisme aussi.
C’est comme si l’homme, après plus de trois décennies de carrière , survolait la pyramide de ses albums, qui l’ont porté au pinacle d’une gloire méritée, pour exécuter des partitions symphoniques destinées à faire comprendre au Public, à tous les publics du monde, qu’il est arrivé au somme de son art, mais qu’il compte bousculer les frontières, repousser les limites objectives de son génie créateur, parce porteur encore de perfections qui demandent à s’exprimer…
Par exemple, l'Obs a pourtant ébruité les démêlées avec Dame Justice du chanteur Thione Seck et qui ont été repris par son site entre autres réseaux sociaux. Thione, qui a été écharpé d'injures sur les redoutés commentaires des réseaux sociaux, n'est-il pas le papa d'autrui?
Il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que pour cette fois, Youssou Ndour, qui éprouve du Respect pour son défunt musicien, "has no respect" (n'a aucun respect), malheureusement, pour les professionnels qui évoluent dans les réseaux sociaux.
Autre exemple, en combattant farouchement au vu et au su de tout le monde l'ancien Président de la République, Me Wade, au seuil de la deuxième alternance du Sénégal, n'est-ce pas que You "himself" s'est servi des réseaux sociaux?
Abdoulaye Wade "dou baayou diambour xana" (n'est-il pas le papa d'autrui)?
Cela dit, on est tous confronté au deuil à un moment ou un autre de notre vie. Un parent, un frère, un compagnon, un enfant, un ami... En fonction de la proximité de la personne disparue, cette épreuve peut s’avérer plus ou moins dure à surmonter.
Les professionnels de l'univers culturel le savent: les tragédies intimes sont une source d'inspiration paradoxale pour les grands artistes à l'image de Youssou Ndour : le perte de l'être cher, aimé, d'un ami, ... sont autant de sujets que leur art sublime.
En tous les cas, ce titre dédié à son regretté bassiste Habib Faye émeut, a fini de séduire plus d'un. Les paroles, empruntes de regrets, laissent néanmoins poindre que Youssou Ndour a, du moins semble avoir du mal à faire le deuil de son "ami". Ce son bouleverse et transporte bien au delà des mots.
Et, les paroles sont quelquefois étouffés par la peine que semble ressentir encore ce virtuose du chant. Reste à espérer que ce son dédié à Habib Faye puisse être la source d’un peu de réconfort, d'abord pour l'auteur, mais aussi et surtout pour les parents, proches, amis, sympathisants, inconditionnels de l'illustre disparu.
Bref, par sa texture, par sa composition comme par ses thématiques, le nouvel album de "l'enfant prodige de la Médina" est une création pharaonique, parce débordant de générosité, d’envies en tous genres, d’altruisme aussi.
C’est comme si l’homme, après plus de trois décennies de carrière , survolait la pyramide de ses albums, qui l’ont porté au pinacle d’une gloire méritée, pour exécuter des partitions symphoniques destinées à faire comprendre au Public, à tous les publics du monde, qu’il est arrivé au somme de son art, mais qu’il compte bousculer les frontières, repousser les limites objectives de son génie créateur, parce porteur encore de perfections qui demandent à s’exprimer…