Tata Aida savait dire non, même quand elle était au Pds en cette période. Mais, toutefois, elle respectait beaucoup son «père», Me Abdoulaye Wade. Aujourd’hui, Aïda prend de l’âge, les ambitions grandissent et le temps n’attend plus. Le constat est clair. Qu’on le dise ou non, la dame de Bambey ne pense plus être derrière quelqu’un d’autre au Pds. Oui, c’est est bien légitime. Aujourd’hui, sa capacité de mobilisation est extraordinaire. Lors du lancement de son mouvement, après leur fameux congrès, la dame, toujours élégante dans ses tenues, une vraie «drianké» sénégalaise, a fait une démonstration de force. Une preuve politique pour montrer aux petits «râleurs» du Pds qu’elle a une base et qu’elle peut faire mal. Chers amis, il ne faut pas croire que c’était juste un clin d’œil au Pds. C’était aussi destiné à ces «prétentieux» et grincheux dirigeants au pouvoir. Sauf, pourra-t-on dire sans sourire, Me Elhadj Diouf, l’avocat du diable… euh, je m’excuse du peuple. Je ne me trompe pas, je pense. Car, il l’a dit hier, lors de l’émission Grand jury sur la RFM, que «son parti est plus «fort» que l’Apr, le Ps, l’Afp».
Bref, laissons Me Buzz tranquille, pour parler de la prestigieuse dame de Bambey. Le pouvoir en place a essayé en vain à la déstabiliser mais, nada rien touss. Elle a résisté à toutes leurs tentatives d’enrôlement et de destitution. Aida est brave, une vraie lionne. Oui ! Elle est beaucoup aimée dans sa localité, cette ancienne enseignante du… Préscolaire, m’a-t-on soufflé. Aujourd’hui, les législatives sont en ligne de mire et la présidentielle dans deux ans. Ce sera sans surprise pour moi, de voir la dame ne pas suivre la caravane dirigée par Oumar Sarr.
Aïda, une fleur du PDS
Ne me demandez pas pourquoi. Vous le savez mieux que moi. Le canard de Youssou Ndour «L’Observateur» avait titré ces derniers temps, «Aida, une épine dans le Pds». Oui ! Un titre provocateur. Mais, aussi une fleur dans ce parti. C’est mieux comme ça qu’elle fasse des mouvements ou déconne par ci par là, mais sans partir. Sinon, c’est le trou béant dans ce parti. Aïda est une «racine» qui tient l’arbre du Pds. C’est pourquoi, il est conseillé aux Libéraux de bien «garder» la dame. Mais, je ne pense pas que ce parti pourra compter longtemps sur elle. Aïda sera certainement candidate en 2019 pour la présidentielle ! Qui sait ?
Par Samba Diamanka
Lessenciel.sn
Bref, laissons Me Buzz tranquille, pour parler de la prestigieuse dame de Bambey. Le pouvoir en place a essayé en vain à la déstabiliser mais, nada rien touss. Elle a résisté à toutes leurs tentatives d’enrôlement et de destitution. Aida est brave, une vraie lionne. Oui ! Elle est beaucoup aimée dans sa localité, cette ancienne enseignante du… Préscolaire, m’a-t-on soufflé. Aujourd’hui, les législatives sont en ligne de mire et la présidentielle dans deux ans. Ce sera sans surprise pour moi, de voir la dame ne pas suivre la caravane dirigée par Oumar Sarr.
Aïda, une fleur du PDS
Ne me demandez pas pourquoi. Vous le savez mieux que moi. Le canard de Youssou Ndour «L’Observateur» avait titré ces derniers temps, «Aida, une épine dans le Pds». Oui ! Un titre provocateur. Mais, aussi une fleur dans ce parti. C’est mieux comme ça qu’elle fasse des mouvements ou déconne par ci par là, mais sans partir. Sinon, c’est le trou béant dans ce parti. Aïda est une «racine» qui tient l’arbre du Pds. C’est pourquoi, il est conseillé aux Libéraux de bien «garder» la dame. Mais, je ne pense pas que ce parti pourra compter longtemps sur elle. Aïda sera certainement candidate en 2019 pour la présidentielle ! Qui sait ?
Par Samba Diamanka
Lessenciel.sn