C’est le retour à la normale à l’Aibd, paralysé par le Syndicat des aiguilleurs du ciel (Sac). « La grève qui devait durer 24 heures renouvelable, à compter du vendredi à 23 heures 59, a été suspendu. Après une journée de négociations avec les autorités de l’Asecna et du Sénégal et à la demande du Premier ministre, Maahammed Boun Abdallah Dionne, nous avons décidé de suspendre le mot d’ordre de grève », a affirmé à « Vox Populi », Mame Alioune Sène, le président de l’Association des professionnelle des contrôleurs aérien du Sénégal.
« A partir de maintenant, a-t-il poursuivi, on prend tout, autant les arrivées que les départs, l’aéroport rouvre, il n’aura plus de blocage ».
Sur le dénouement de cette crise qui porte sur les revendications des conditions de travail (voiture, cartes au péage, logements, Ndlr). Mame Alioune Sène renseigne que c’est « les autorités, en particulier le Premier ministre, nous ont fait comprendre qu’ils ont bien reçu notre message et qu’il est sensible à la question de nos revendications. Et comme nous ne sommes pas dans la dynamique de saboter quoi que ce soit, nous avons donné suite. Parce que notre objectif, c’était d’être entendus, d’être mis dans de bonnes conditions et la réponse nous rassure ».
Ce mouvement d’humeur a causé d’énormes dégâts. A l’Aidb, c’était le chaos total pendant toute la journée. Certains passagers pris de court, ont passés la nuit au hall de l’aéroport comme en témoignent de nombreuses images postées sur les réseaux sociaux. A Roissy Charles de Gaulle, le fameux aéroport Parisien, censé être le lieu de transit vers le Sénégal, pour beaucoup de passagers c’était la même désolation. Les nombreux passagers venant des pays voisins de la France et d’Amérique du Sud ont dû subir, à distance, les conséquences de la grève des aiguilleurs du nouvel aéroport, rapporte EnQuête.
Les pertes financières n’ont pas été établies dans l’immédiat, mais LAS, société gestionnaire de l’aéroport, signale dans un communiqué, être "victime de cette situation et déplore les conséquences de ce mouvement, qui impacte fortement l’image du Sénégal, ainsi que le service rendu aux passagers et aux compagnies aériennes".
« A partir de maintenant, a-t-il poursuivi, on prend tout, autant les arrivées que les départs, l’aéroport rouvre, il n’aura plus de blocage ».
Sur le dénouement de cette crise qui porte sur les revendications des conditions de travail (voiture, cartes au péage, logements, Ndlr). Mame Alioune Sène renseigne que c’est « les autorités, en particulier le Premier ministre, nous ont fait comprendre qu’ils ont bien reçu notre message et qu’il est sensible à la question de nos revendications. Et comme nous ne sommes pas dans la dynamique de saboter quoi que ce soit, nous avons donné suite. Parce que notre objectif, c’était d’être entendus, d’être mis dans de bonnes conditions et la réponse nous rassure ».
Ce mouvement d’humeur a causé d’énormes dégâts. A l’Aidb, c’était le chaos total pendant toute la journée. Certains passagers pris de court, ont passés la nuit au hall de l’aéroport comme en témoignent de nombreuses images postées sur les réseaux sociaux. A Roissy Charles de Gaulle, le fameux aéroport Parisien, censé être le lieu de transit vers le Sénégal, pour beaucoup de passagers c’était la même désolation. Les nombreux passagers venant des pays voisins de la France et d’Amérique du Sud ont dû subir, à distance, les conséquences de la grève des aiguilleurs du nouvel aéroport, rapporte EnQuête.
Les pertes financières n’ont pas été établies dans l’immédiat, mais LAS, société gestionnaire de l’aéroport, signale dans un communiqué, être "victime de cette situation et déplore les conséquences de ce mouvement, qui impacte fortement l’image du Sénégal, ainsi que le service rendu aux passagers et aux compagnies aériennes".