Au Collège d'enseignement moyen Samba Ndieme Sow de Saint-Louis (nord du Sénégal), l’affluence pour ce premier tour de la présidentielle était plus faible à la mi-journée, a constaté notre envoyée spéciale.
560 000 électeurs appelés aux urnes à Saint-Louis
À Saint-Louis, où près de 560 000 électeurs sont appelés aux urnes, à l'école Abdou Diouf où se trouve notre correspondante Juliette Dubois, il y a quatre bureaux de vote dans des salles de classe. Dans chacune, le président et les assesseurs sont présents, ainsi que plusieurs représentants des partis qui assistent aux opérations et récupéreront les PV après le dépouillement. Des observateurs de la Cédéao sont actuellement en train de passer dans les salles de classe.
Devant les bureaux, des queues d'une petite dizaine de personnes, tout le monde attend dans le calme. Jean-Louis Roger, un électeur, a expliqué au micro de RFI que les gens allaient sûrement venir un peu plus tard à cause du ramadan. Ils se sont recouchés après avoir mangé avant le lever du soleil.
La société civile mobilisée pour surveiller les élections
Plus de 2 400 observateurs nationaux et internationaux sont déployés sur tout le territoire sénégalais pour observer le scrutin présidentiel qui se déroule ce dimanche. Parmi eux, environ 1 300 répartis dans les 14 régions du Sénégal travaillent dans le cadre de la mission d’observation du collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE).
Forte affluence constatée dans les bureaux de vote à Dakar
Depuis l’ouverture à 8h, les files ne font que s’allonger selon notre correspondante à Dakar, Léa-Lisa Westerhoff. De nombreux électeurs confirment qu'il y a bien plus de monde qu’en 2019 à la même heure pour aller voter, mais qu’importe « nous attendrons jusqu’à la nuit s’il le faut » a déclaré à RFI un jeune électeur car « c’est un jour historique » nous a expliqué un autre, « nous décidons de l’avenir du pays pour les 5 prochaines années ».
Aux alentours de 11h TU, 98 personnes avaient glissé leur bulletin dans l’urne sur 596 inscrits dans un bureau de vote de la capitale. La journée promet donc d’être longue. Sur une table d’écolier, les 19 bulletins des candidats blanc, vert, jaune, sont bien là. L’isoloir est une sorte de paravent, avec deux personnes qui peuvent voter simultanément. À l’intérieur, un grand carton est en place pour recueillir les bulletins non utilisés. Une fois l’enveloppe glissée dans l’urne, le doigt est trempé dans de l’encre rose indélébile. Pour l’heure, tout se déroule dans le calme.
560 000 électeurs appelés aux urnes à Saint-Louis
À Saint-Louis, où près de 560 000 électeurs sont appelés aux urnes, à l'école Abdou Diouf où se trouve notre correspondante Juliette Dubois, il y a quatre bureaux de vote dans des salles de classe. Dans chacune, le président et les assesseurs sont présents, ainsi que plusieurs représentants des partis qui assistent aux opérations et récupéreront les PV après le dépouillement. Des observateurs de la Cédéao sont actuellement en train de passer dans les salles de classe.
Devant les bureaux, des queues d'une petite dizaine de personnes, tout le monde attend dans le calme. Jean-Louis Roger, un électeur, a expliqué au micro de RFI que les gens allaient sûrement venir un peu plus tard à cause du ramadan. Ils se sont recouchés après avoir mangé avant le lever du soleil.
La société civile mobilisée pour surveiller les élections
Plus de 2 400 observateurs nationaux et internationaux sont déployés sur tout le territoire sénégalais pour observer le scrutin présidentiel qui se déroule ce dimanche. Parmi eux, environ 1 300 répartis dans les 14 régions du Sénégal travaillent dans le cadre de la mission d’observation du collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE).
Forte affluence constatée dans les bureaux de vote à Dakar
Depuis l’ouverture à 8h, les files ne font que s’allonger selon notre correspondante à Dakar, Léa-Lisa Westerhoff. De nombreux électeurs confirment qu'il y a bien plus de monde qu’en 2019 à la même heure pour aller voter, mais qu’importe « nous attendrons jusqu’à la nuit s’il le faut » a déclaré à RFI un jeune électeur car « c’est un jour historique » nous a expliqué un autre, « nous décidons de l’avenir du pays pour les 5 prochaines années ».
Aux alentours de 11h TU, 98 personnes avaient glissé leur bulletin dans l’urne sur 596 inscrits dans un bureau de vote de la capitale. La journée promet donc d’être longue. Sur une table d’écolier, les 19 bulletins des candidats blanc, vert, jaune, sont bien là. L’isoloir est une sorte de paravent, avec deux personnes qui peuvent voter simultanément. À l’intérieur, un grand carton est en place pour recueillir les bulletins non utilisés. Une fois l’enveloppe glissée dans l’urne, le doigt est trempé dans de l’encre rose indélébile. Pour l’heure, tout se déroule dans le calme.