Selon nos informations, les militaires français n’ont jamais été arrêtés puis libérés après intervention de leur ambassade. En réalité, à la suite de la bagarre qui s’est déroulée devant « Le Patio », c’est la gendarmerie de Ngor qui est intervenue. Après avoir constaté que les mis en cause étaient des militaires, la brigade de Ngor a renvoyé l’affaire à la brigade prévôtale qui est compétente dans ce cas d’espèce.
L’enquête prévôtale a révélé que la plainte qu’avait annoncée les militaires français pour se défendre concerne en réalité un individu qui a profité de la bagarre pour frapper un militaire français, voler son téléphone, puis disparaître.
Pour le reste, l’enquête a attesté que les militaires français étaient tous ivres morts et ce sont eux qui ont provoqué Omar Watt et Cie en voulant coûte que coûte parler avec les filles qui les accompagnaient. Voulant éviter le pire, Omar Watt s’était mis entre les deux groupes. Et c’est ainsi qu’un militaire français lui a asséné un coup qui lui a fait perdre l’équilibre. Puis, il a continué à lui rouer de coups alors que ce dernier était à terre, en se mettant carrément sur lui.
Après leur forfaits, les militaires français ont tenté la fuite, mais ont été rattrapés par la foule qui les taxait de terroristes. C’est ainsi que les gendarmes, stationnés à hauteur du Rond Point des Almadies, sont intervenus pour calmer les ardeurs. Et c’est entre leurs mains, que les français ont fini par révéler qu’ils étaient des militaires, note le journal Libération.
L’enquête suit toujours son cours!
L’enquête prévôtale a révélé que la plainte qu’avait annoncée les militaires français pour se défendre concerne en réalité un individu qui a profité de la bagarre pour frapper un militaire français, voler son téléphone, puis disparaître.
Pour le reste, l’enquête a attesté que les militaires français étaient tous ivres morts et ce sont eux qui ont provoqué Omar Watt et Cie en voulant coûte que coûte parler avec les filles qui les accompagnaient. Voulant éviter le pire, Omar Watt s’était mis entre les deux groupes. Et c’est ainsi qu’un militaire français lui a asséné un coup qui lui a fait perdre l’équilibre. Puis, il a continué à lui rouer de coups alors que ce dernier était à terre, en se mettant carrément sur lui.
Après leur forfaits, les militaires français ont tenté la fuite, mais ont été rattrapés par la foule qui les taxait de terroristes. C’est ainsi que les gendarmes, stationnés à hauteur du Rond Point des Almadies, sont intervenus pour calmer les ardeurs. Et c’est entre leurs mains, que les français ont fini par révéler qu’ils étaient des militaires, note le journal Libération.
L’enquête suit toujours son cours!