Visé par une citation à comparaître émise par le Congrès, Bryan Pagliano ne s'est pas présenté à l'audition, une absence qualifiée d'"affront" par l'élu républicain Jason Chaffetz, président de la Commission parlementaire de surveillance de l'action gouvernementale. "Sa présence est requise", a insisté M. Chaffetz, en ajoutant que cela n'était "pas optionnel" et que la commission allait étudier les moyens de faire comparaître M. Pagliano.
Alors qu'elle dirigeait la diplomatie américaine, Mme Clinton a utilisé un serveur privé non sécurisé, malgré la sensibilité des dossiers dont elle était chargée.
Au terme d'un an d'investigations, la police fédérale a recommandé début juillet de ne pas poursuivre l'ex-secrétaire d'Etat, en concluant toutefois qu'elle avait fait preuve d'une "négligence extrême". La ministre de la Justice Loretta Lynch avait dans la foulée classé l'affaire.
Les élus républicains sont depuis convaincus que le FBI a fait preuve, sous l'influence du gouvernement de Barack Obama, d'une clémence inacceptable pour la candidate démocrate à la Maison Blanche. Au nom de la transparence et de la responsabilité de l'exécutif vis-à-vis du législatif, M. Chaffetz et ses collègues républicains se sont donc lancés dans une série d'audits, exigeant de connaître les détails des investigations fédérales qui ont visé Mme Clinton.
La controverse sur les emails de la candidate démocrate, qui a varié ses arguments de défense, empoisonne sa course vers la Maison Blanche et fournit des munitions à ses adversaires. Depuis le week-end dernier, Hillary Clinton est également en difficulté après un malaise qui l'a forcée à révéler tardivement qu'elle souffrait d'une pneumonie.
7SUR7
Alors qu'elle dirigeait la diplomatie américaine, Mme Clinton a utilisé un serveur privé non sécurisé, malgré la sensibilité des dossiers dont elle était chargée.
Au terme d'un an d'investigations, la police fédérale a recommandé début juillet de ne pas poursuivre l'ex-secrétaire d'Etat, en concluant toutefois qu'elle avait fait preuve d'une "négligence extrême". La ministre de la Justice Loretta Lynch avait dans la foulée classé l'affaire.
Les élus républicains sont depuis convaincus que le FBI a fait preuve, sous l'influence du gouvernement de Barack Obama, d'une clémence inacceptable pour la candidate démocrate à la Maison Blanche. Au nom de la transparence et de la responsabilité de l'exécutif vis-à-vis du législatif, M. Chaffetz et ses collègues républicains se sont donc lancés dans une série d'audits, exigeant de connaître les détails des investigations fédérales qui ont visé Mme Clinton.
La controverse sur les emails de la candidate démocrate, qui a varié ses arguments de défense, empoisonne sa course vers la Maison Blanche et fournit des munitions à ses adversaires. Depuis le week-end dernier, Hillary Clinton est également en difficulté après un malaise qui l'a forcée à révéler tardivement qu'elle souffrait d'une pneumonie.
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