Dans son édition du jour, Libération rapporte que le procureur financier, El Hadj Abdoulaye Sylla, a déclenché une enquête tentaculaire sur l’affaire baptisée « Tf1451/R ». Ce dossier, qui ferait pâlir les plus grands scénaristes de drames financiers, vise un préjudice estimé à 94,8 milliards de francs CFA, selon un soit-transmis récemment adressé.
Les charges sont lourdes : escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux, mais aussi blanchiment de capitaux. Les faits, qui restent encore flous, pourraient impliquer plusieurs acteurs de poids, tant dans le secteur privé que dans des cercles plus influents.
Les héritiers Mbeugour Mbengue entrent dans la danse
Toujours selon Libération, les héritiers de feu Mbeugour Mbengue ne sont pas restés les bras croisés. Par l’entremise de leur avocat, Me Assane Dioma Ndiaye, ils se sont constitués parties civiles. Ce geste marque une volonté claire de ces derniers de faire la lumière sur cette affaire et de défendre ce qu’ils estiment être leurs droits bafoués.
Un dossier qui promet des révélations croustillantes
L’implication de la Division des Investigations Criminelles (Dic), saisie pour mener les enquêtes, atteste de la sensibilité de l’affaire. Le parquet financier semble déterminé à ne laisser aucun détail dans l’ombre.
Pour l’instant, le silence radio des potentiels mis en cause laisse la place à toutes les spéculations. Une chose est certaine : comme le souligne Libération, cette affaire est à suivre de près, tant elle pourrait remuer les sphères financière et judiciaire.
Derrière ce « Tf1451/R », un scandale au goût amer se dessine, et les prochains jours risquent d’être décisifs.
dakaractu
Les charges sont lourdes : escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux, mais aussi blanchiment de capitaux. Les faits, qui restent encore flous, pourraient impliquer plusieurs acteurs de poids, tant dans le secteur privé que dans des cercles plus influents.
Les héritiers Mbeugour Mbengue entrent dans la danse
Toujours selon Libération, les héritiers de feu Mbeugour Mbengue ne sont pas restés les bras croisés. Par l’entremise de leur avocat, Me Assane Dioma Ndiaye, ils se sont constitués parties civiles. Ce geste marque une volonté claire de ces derniers de faire la lumière sur cette affaire et de défendre ce qu’ils estiment être leurs droits bafoués.
Un dossier qui promet des révélations croustillantes
L’implication de la Division des Investigations Criminelles (Dic), saisie pour mener les enquêtes, atteste de la sensibilité de l’affaire. Le parquet financier semble déterminé à ne laisser aucun détail dans l’ombre.
Pour l’instant, le silence radio des potentiels mis en cause laisse la place à toutes les spéculations. Une chose est certaine : comme le souligne Libération, cette affaire est à suivre de près, tant elle pourrait remuer les sphères financière et judiciaire.
Derrière ce « Tf1451/R », un scandale au goût amer se dessine, et les prochains jours risquent d’être décisifs.
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