Une des défenseurs des droits de la femme, Aida Mbodj, dans l’affaire Sweet Beauté, s’est rangée du côté du leader du Pastef, Ousmane Sonko. Invitée de l’émission «Grand Jury» de ce dimanche sur la Rfm, la parlementaire revient sur sa position.
«Depuis le début de l’affaire, personne ne peut voir Adji Sarr, même sa famille. Aujourd’hui, elle est même en danger, entre les mains de kidnappeurs, alors qu’elle a besoin de sa famille, d’un Aida Mbodj qui a plus d’expérience qu’elle. Je voudrais m’acquitter de mes devoirs, malheureusement», soutient-elle.
«Je ne pense pas qu’elle puisse tenir très longtemps. Si vous envisagez de faire des débats avec elle, il faudrait la préparer. Je ne suis pas sûre qu’elle puisse faire face à des ténors du barreau, lors d’un procès», ajoute la parlementaire.
«Depuis le début de l’affaire, personne ne peut voir Adji Sarr, même sa famille. Aujourd’hui, elle est même en danger, entre les mains de kidnappeurs, alors qu’elle a besoin de sa famille, d’un Aida Mbodj qui a plus d’expérience qu’elle. Je voudrais m’acquitter de mes devoirs, malheureusement», soutient-elle.
«Je ne pense pas qu’elle puisse tenir très longtemps. Si vous envisagez de faire des débats avec elle, il faudrait la préparer. Je ne suis pas sûre qu’elle puisse faire face à des ténors du barreau, lors d’un procès», ajoute la parlementaire.