Les «Sonko Boys» sont très présents sur les réseaux sociaux. Pour annihiler toute velléité de projet de trouble à l’ordre public, une "cyber-patrouille" de police est mise en branle sur Internet.
Et la Division spéciale de Cybersécurité (DSC) est mise à profit pour traquer les pro-Sonko.
D’après L’Observateur, la police procède à des patrouilles cybernétiques pour traquer sur la toile de potentiels suspects qui planifieraient tout projet d’appel à l’insurrection.
En effet, renseigne le journal, tout post, message, commentaire, publication (écrite, audio, vidéo), suspect, est passé au peigne fin.
La traque est accentuée pour identifier, localiser par des moyens de géolocalisation de pointe, le ou les auteurs ciblés.
Une fois toutes les données de nature à motiver l’interpellation d’une personne ou d’un groupe d’individus réunies, ces renseignements sont transmis à une unité spéciale de la police, à l’instar de la DIC, de la Sûreté urbaine (SU), aux fins de continuations d’enquête et d’interpellation.
Une méthode qui a fait ses effets avec l’interpellation de plusieurs cadres de Pastef à divers endroits. Cette forme d’enquête n’a rien à voir avec les écoutes téléphoniques.
Et la Division spéciale de Cybersécurité (DSC) est mise à profit pour traquer les pro-Sonko.
D’après L’Observateur, la police procède à des patrouilles cybernétiques pour traquer sur la toile de potentiels suspects qui planifieraient tout projet d’appel à l’insurrection.
En effet, renseigne le journal, tout post, message, commentaire, publication (écrite, audio, vidéo), suspect, est passé au peigne fin.
La traque est accentuée pour identifier, localiser par des moyens de géolocalisation de pointe, le ou les auteurs ciblés.
Une fois toutes les données de nature à motiver l’interpellation d’une personne ou d’un groupe d’individus réunies, ces renseignements sont transmis à une unité spéciale de la police, à l’instar de la DIC, de la Sûreté urbaine (SU), aux fins de continuations d’enquête et d’interpellation.
Une méthode qui a fait ses effets avec l’interpellation de plusieurs cadres de Pastef à divers endroits. Cette forme d’enquête n’a rien à voir avec les écoutes téléphoniques.