Un jeune citoyen nommé à un poste de responsabilité aussi sensible que les Domaines, dans un pays qui s’appelle le Sénégal, où les litiges relatifs au foncier ont naguère occasionné des dissensions particulièrement lourdes, ose-t-il s’offrir l’insoutenable liberté d’octroyer 5000 mètres carrés à un " copain" rondement confiné dans un portefeuille ministériel ? Nous ne connaissons Mame Boye Diao que de nom. Nous le voyons de temps en temps intervenir à travers les médias, avec une capacité de convaincre, une assurance et un sens de l’analyse au-dessus de la moyenne (il suffit d’interroger quelques Sénégalais pour savoir que notre peinture des dispositions intellectuelles et morales de l’homme n’a rien de surfait ou de corrompu). Nous disions donc que nous faisons partie des Sénégalais qui n’ont aucune relation particulière avec ce jeune cadre, mais à vrai dire l’accusation qui lui est adressée ne peut pas ne pas réveiller quelque réflexe dubitatif de la part de ceux qui d’entre nous sont habités par les sens du discernement.
5000 mètres carrés, chers lecteurs, convenons-en, c’est quand même énorme ! Et après tout on n’est pas dans une Afrique des premières années post indépendances et M. DIAO, non plus, n’est certainement pas un épigone d’un certain Mobutu Sesse Seko, qui expropriait les pauvres citoyens de son pays en un tour de canne, et qui avait fini par faire de la moitié du Zaïre sa propriété privée…
Non, nous ne faisons pas partie de l’infime minorité des Sénégalais qui se sont laissés convaincre par les promoteurs de cette accusation pantagruélique, et, à la limite, grotesque. Pourquoi ? Heh bien parce que selon toute vraisemblance, le bonhomme (Mame Boye DIAO) ne manque pas d’intelligence (loin s’en faut) ; autrement dit, serait-il tenté de procéder à cette attribution gargantuesque qu’il aurait tout au moins adopté une technique de morcellement et n’aurait pas certainement choisi un citoyen aussi lourdement exposé dans un tour de verre par ses responsabilité étatiques.
Si nous ne attachons à cette certitude c’est parce qu' en vérité, chers lecteurs, en amont, nous avons mené de profondes investigations sur les vraies causes qui sous-tendent cette accusation particulièrement navrante. Et nous sommes revenus de notre "expédition" avec la provision suivante : derrière les calomniateurs qui ont soulevé ce tas de fumier il y aurait un puissant ministre de la République qui a toute la confiance du "Chef" du Macky et qui aurait encore du mal, vraiment du mal à avaler cette grosse et amère "pilule" appelée Mame Boye DIAO. En d’autres termes, ce puissant ministre d’Etat, Haal Pulaar bon teint, reconnaissable entre tous par sa mine faussement angélique, aurait mal digéré qu’un de ses affidés qu’il aurait proposé à Macky au poste de Directeur Général des Domaines ne soit pas retenu. En effet, après s’être ingénié à "travailler" l’oreille du "Chef" pour l’amener à installer son "poulain" dans le moelleux fauteuil domanial, Kor Marème lui aurait courtoisement rétorqué qu’il avait déjà jeté son dévolu sur l’homme Mame Boye DIAO, un garçon très compétent, dévoué, sérieux, discret, travailleur et loyal. Depuis, le dit ministre, qui sent les "Finances "à mille lieues, a cru devoir déclencher les hostilités pour casser du " Mame", afin de lui réserver le destin que les Blancs réservèrent au jeune Toundi dans une vie de BOYE (sic).
Quoi qu’il en soit, il va falloir que les tombeurs professionnels de " princes" se rendent à l’évidence : quand on a en face de soi un type comme Mame Boye DIAO, dépeint par ses proches et collaborateurs comme un homme plus vertueux qu’une pyramide de versets coraniques, il devient particulièrement difficile de le mettre K.O., même avec des coups donnés au plus bas de la ceinture.
A bon entendeur salut !
Et surtout, suivez ce conseil précieux par lequel lui-même termine son adresse salée à la secte de ses contempteurs : « N’oubliez pas les gestes barrières, la pandémie de coronavirus est toujours là. »…
Mamadou Ndiaye, Dirpub dakarposte
njaydakarposte@gmail.com
5000 mètres carrés, chers lecteurs, convenons-en, c’est quand même énorme ! Et après tout on n’est pas dans une Afrique des premières années post indépendances et M. DIAO, non plus, n’est certainement pas un épigone d’un certain Mobutu Sesse Seko, qui expropriait les pauvres citoyens de son pays en un tour de canne, et qui avait fini par faire de la moitié du Zaïre sa propriété privée…
Non, nous ne faisons pas partie de l’infime minorité des Sénégalais qui se sont laissés convaincre par les promoteurs de cette accusation pantagruélique, et, à la limite, grotesque. Pourquoi ? Heh bien parce que selon toute vraisemblance, le bonhomme (Mame Boye DIAO) ne manque pas d’intelligence (loin s’en faut) ; autrement dit, serait-il tenté de procéder à cette attribution gargantuesque qu’il aurait tout au moins adopté une technique de morcellement et n’aurait pas certainement choisi un citoyen aussi lourdement exposé dans un tour de verre par ses responsabilité étatiques.
Si nous ne attachons à cette certitude c’est parce qu' en vérité, chers lecteurs, en amont, nous avons mené de profondes investigations sur les vraies causes qui sous-tendent cette accusation particulièrement navrante. Et nous sommes revenus de notre "expédition" avec la provision suivante : derrière les calomniateurs qui ont soulevé ce tas de fumier il y aurait un puissant ministre de la République qui a toute la confiance du "Chef" du Macky et qui aurait encore du mal, vraiment du mal à avaler cette grosse et amère "pilule" appelée Mame Boye DIAO. En d’autres termes, ce puissant ministre d’Etat, Haal Pulaar bon teint, reconnaissable entre tous par sa mine faussement angélique, aurait mal digéré qu’un de ses affidés qu’il aurait proposé à Macky au poste de Directeur Général des Domaines ne soit pas retenu. En effet, après s’être ingénié à "travailler" l’oreille du "Chef" pour l’amener à installer son "poulain" dans le moelleux fauteuil domanial, Kor Marème lui aurait courtoisement rétorqué qu’il avait déjà jeté son dévolu sur l’homme Mame Boye DIAO, un garçon très compétent, dévoué, sérieux, discret, travailleur et loyal. Depuis, le dit ministre, qui sent les "Finances "à mille lieues, a cru devoir déclencher les hostilités pour casser du " Mame", afin de lui réserver le destin que les Blancs réservèrent au jeune Toundi dans une vie de BOYE (sic).
Quoi qu’il en soit, il va falloir que les tombeurs professionnels de " princes" se rendent à l’évidence : quand on a en face de soi un type comme Mame Boye DIAO, dépeint par ses proches et collaborateurs comme un homme plus vertueux qu’une pyramide de versets coraniques, il devient particulièrement difficile de le mettre K.O., même avec des coups donnés au plus bas de la ceinture.
A bon entendeur salut !
Et surtout, suivez ce conseil précieux par lequel lui-même termine son adresse salée à la secte de ses contempteurs : « N’oubliez pas les gestes barrières, la pandémie de coronavirus est toujours là. »…
Mamadou Ndiaye, Dirpub dakarposte
njaydakarposte@gmail.com