Selon le quotidien Les Échos, la Chambre d’accusation financière a estimé que les fonds supposément détournés et extorqués ne reposent que sur les déclarations de Mouhamed DIENG. Toujours d’après la même source, « seuls 15 millions FCFA ont pu être retracés. Ce qui, au regard des sommes déclarées, apparaît dérisoire, voire insignifiant. »
La double qualification des faits semble donc difficilement tenable, souligne le journal, qui ajoute : « Après environ sept mois d’enquête et d’instruction, aucune preuve solide n’a été apportée par l’accusation. »
Sur la demande de liberté provisoire de Lat DIOP, ancien directeur général de la LONASE, Les Echos relate que la Chambre d’accusation du PJF estime que « le maintien en détention (de l’accusé), ne saurait être justifié par l’attente de l’exécution d’une commission rogatoire internationale sur laquelle le juge qui l’a rédigée n’a aucune prise. »
Walf
La double qualification des faits semble donc difficilement tenable, souligne le journal, qui ajoute : « Après environ sept mois d’enquête et d’instruction, aucune preuve solide n’a été apportée par l’accusation. »
Sur la demande de liberté provisoire de Lat DIOP, ancien directeur général de la LONASE, Les Echos relate que la Chambre d’accusation du PJF estime que « le maintien en détention (de l’accusé), ne saurait être justifié par l’attente de l’exécution d’une commission rogatoire internationale sur laquelle le juge qui l’a rédigée n’a aucune prise. »
Walf