Il a été écrit dans une certaine presse qu'une décision du juge des référés a fini de trancher en faveur de l'ex Dg de l'Artp, en l'occurrence Ndongo Diaw, allusion faite à une villa estimée à la bagatelle de 300 millions de nos pauvres francs dévalués. Et, que le patron de TSE/TRE aurait été condamné dans cette affaire.
Ce qui n'a pas été dit: il y'a eu devant Dame Justice une confrontation entre les parties contractantes,c'est à dire entre Cheikh Amar et Ndongo Diaw. Au cours de ce face à face que nos sources qualifient de "clarification", le magnat de la firme HOLDING AMAR a interpelé dans le blanc de l'oeil l'ex patron de l'ARTP, lui demandant de fournir les documents attestant ses allégations. Ce que le sieur Diao n'a pas pu, c'est à dire fournir les pièces à conviction attestant ses graves accusations. Selon des sources judiciaires,câblées par nos soins, cette affaire; qui n'en est pas une, a finalement été classée... sans suite.
Pour ceux qui n'ont pas suivi cette affaire, il a été écrit dans une certaine presse ce vendredi matin que la décision du juge des référés est tombée comme un couperet sur la tête de Cheikh Amar, dans son bras de fer contre Ndongo Diao.
Qui plus est, il a été écrit sur ce site que l’ex-Directeur général de l’autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) a fait condamner le patron de Tse qui lui avait vendu une villa à plus de 240 millions de nos francs sans jamais lui rendre les clés de la villa.
Nous y reviendrons amplement...
Ce qui n'a pas été dit: il y'a eu devant Dame Justice une confrontation entre les parties contractantes,c'est à dire entre Cheikh Amar et Ndongo Diaw. Au cours de ce face à face que nos sources qualifient de "clarification", le magnat de la firme HOLDING AMAR a interpelé dans le blanc de l'oeil l'ex patron de l'ARTP, lui demandant de fournir les documents attestant ses allégations. Ce que le sieur Diao n'a pas pu, c'est à dire fournir les pièces à conviction attestant ses graves accusations. Selon des sources judiciaires,câblées par nos soins, cette affaire; qui n'en est pas une, a finalement été classée... sans suite.
Pour ceux qui n'ont pas suivi cette affaire, il a été écrit dans une certaine presse ce vendredi matin que la décision du juge des référés est tombée comme un couperet sur la tête de Cheikh Amar, dans son bras de fer contre Ndongo Diao.
Qui plus est, il a été écrit sur ce site que l’ex-Directeur général de l’autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) a fait condamner le patron de Tse qui lui avait vendu une villa à plus de 240 millions de nos francs sans jamais lui rendre les clés de la villa.
Nous y reviendrons amplement...