Autrefois, la surface de l'aéroport international Léopold Sedar Senghor était de plus de 800 hectares. Cependant, souligne le journal Source A, aujourd'hui, la réalité est plus prosaïque. En effet, elle est désormais réduite à une quarantaine d'hectares seulement. Ce morcellement s'est poursuivi avec le dépeçage de l'ancienne Ecole d'Air Afrique.
La Cité Asecna-Batterie, la Cité Biagui et d'autres quartiers sont désormais situés dans le périmètre de l'aéroport international Léopold Sedar Senghor. Ce pillage foncier a démarré sous le régime de Diouf, s'est accentué sous Abdoulaye Wade, et le défunt régime de Macky Sall a perpétué cette tradition. Le transfert d'une bonne partie des activités aériennes à l'AIBD a favorisé ce pillage foncier.
Nos confrères informent que les alentours de la gare des pèlerins sont aujourd'hui habités. Ainsi, la surface de l'Aéroport international Léopold Sedar Senghor s'est réduite à seulement 40 hectares, alors qu'elle était autrefois de 800 hectares. Cela crée des problèmes de sécurité au moment où les autorités ont décidé d'utiliser l'aéroport pour les vols régionaux.
dakaract
La Cité Asecna-Batterie, la Cité Biagui et d'autres quartiers sont désormais situés dans le périmètre de l'aéroport international Léopold Sedar Senghor. Ce pillage foncier a démarré sous le régime de Diouf, s'est accentué sous Abdoulaye Wade, et le défunt régime de Macky Sall a perpétué cette tradition. Le transfert d'une bonne partie des activités aériennes à l'AIBD a favorisé ce pillage foncier.
Nos confrères informent que les alentours de la gare des pèlerins sont aujourd'hui habités. Ainsi, la surface de l'Aéroport international Léopold Sedar Senghor s'est réduite à seulement 40 hectares, alors qu'elle était autrefois de 800 hectares. Cela crée des problèmes de sécurité au moment où les autorités ont décidé d'utiliser l'aéroport pour les vols régionaux.
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