«La dotation du Fonds Covid à hauteur de 1 000 milliards FCFA est totalement bouclée suivant la répartition ci-après : l’appui financier des partenaires du Sénégal : 586 milliards FCFA ; la contribution volontaire des Sénégalais : 15 milliards FCFA et l’effort de recadrage du budget 2020 : 399 milliards FCFA » informe le communiqué du ministère de l’Economie, du plan et de la coopération.
Ce budget est réparti en fonction de domaines prioritaires. Une enveloppe de 64,4 milliards de francs Cfa était destinée au secteur de la santé, une autre de 100 milliards de francs Cfa pour la résilience et la cohésion sociale. Un fonds de 802 milliards de francs Cfa réservait pour la sauvegarde de la stabilité macroéconomique, financière de soutien pour le secteur privé afin de maintenir les emplois. Il faut aussi compter un budget d’au moins de 50 milliards de francs Cfa pour la sécurisation des circuits d’approvisionnement et de distribution pour les denrées alimentaires, les médicaments et l’énergie.
Autant de mesures en vue d’amortir les conséquences néfastes de cette pandémie sur l’économie nationale. Mais également de permettre aux acteurs du secteur privé de supporter cette période de crise. Seulement les prévisions de l’Etat d’urgence sanitaire portent sur 3 mois. Les planifications d’ordre économiques devaient certainement se limiter à cet intervalle de temps.
L’adresse du président de la République à la nation pourrait être une consigne de retour à la normale. Une reprise, sans doute, encadrée de l’activité économique soutenue depuis l’apparition de virus par le programme de résilience économique et sociale exécuté.
Ce troisième discours du chef de l’Etat en l’espace de trois mois pourrait aussi être le moment de présenter le bilan à mi-parcours des finances accordées au Fonds Covid. Moment de connaitre l’efficacité du programme de résilience économique et sociale exécuté notamment dans les secteurs où les fonds ont été injectés, si toutefois la reprise des activités de l’économie doit être de rigueur.
Ce budget est réparti en fonction de domaines prioritaires. Une enveloppe de 64,4 milliards de francs Cfa était destinée au secteur de la santé, une autre de 100 milliards de francs Cfa pour la résilience et la cohésion sociale. Un fonds de 802 milliards de francs Cfa réservait pour la sauvegarde de la stabilité macroéconomique, financière de soutien pour le secteur privé afin de maintenir les emplois. Il faut aussi compter un budget d’au moins de 50 milliards de francs Cfa pour la sécurisation des circuits d’approvisionnement et de distribution pour les denrées alimentaires, les médicaments et l’énergie.
Autant de mesures en vue d’amortir les conséquences néfastes de cette pandémie sur l’économie nationale. Mais également de permettre aux acteurs du secteur privé de supporter cette période de crise. Seulement les prévisions de l’Etat d’urgence sanitaire portent sur 3 mois. Les planifications d’ordre économiques devaient certainement se limiter à cet intervalle de temps.
L’adresse du président de la République à la nation pourrait être une consigne de retour à la normale. Une reprise, sans doute, encadrée de l’activité économique soutenue depuis l’apparition de virus par le programme de résilience économique et sociale exécuté.
Ce troisième discours du chef de l’Etat en l’espace de trois mois pourrait aussi être le moment de présenter le bilan à mi-parcours des finances accordées au Fonds Covid. Moment de connaitre l’efficacité du programme de résilience économique et sociale exécuté notamment dans les secteurs où les fonds ont été injectés, si toutefois la reprise des activités de l’économie doit être de rigueur.