"Assane Mbacké et ses acolytes sont des arnaqueurs dans la tariha Mouride. Ils sont indignes de porter le nom Mbacké et sont entrain de souiller l'oeuvre du vénéré Khadimou Rassoul qui disait: Dieuf Dieul Niakh Djiariniou" a d'emblée laissé entendre Adama Fall aiu téléphone de dakarposte.
Et, l'enseignant de renchérir: "Ces hableurs ont la nostalgie des mallettes d'argent que distribuait l'arnaqueur en chef Me Wade et qu'ils détournaient à d'autres fins. Ces trafiquants d'illusions qui faisaient le pied de grue pour obtenir un passeport diplomatique font aujourd'hui dans le chantage pour être en relation la première dame d'où cette pseudo plainte. Ces pressions et manipulations ne sauront prospérer dans ce régime ".
Pour rappel, lors de l’assemblée générale qu’il a tenue ce mardi à Mbacké au quartier «Tableau Caabi», il a annoncé la réactivation de sa plainte contre la première Dame du Sénégal. Face à ses militants et amis, le jeune Mbacké-Mbacké a invitée cette dernière à éclairer la lanterne des Sénégalais sur cet argent provenant d’une banque étrangère et que le flou, assure-t-il, entoure. «Je suis un citoyen qui m’interroge et j’ai le droit de poser des questions quand je ne comprends pas», a martelé l’ancien pensionnaire de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel.
Et, l'enseignant de renchérir: "Ces hableurs ont la nostalgie des mallettes d'argent que distribuait l'arnaqueur en chef Me Wade et qu'ils détournaient à d'autres fins. Ces trafiquants d'illusions qui faisaient le pied de grue pour obtenir un passeport diplomatique font aujourd'hui dans le chantage pour être en relation la première dame d'où cette pseudo plainte. Ces pressions et manipulations ne sauront prospérer dans ce régime ".
Pour rappel, lors de l’assemblée générale qu’il a tenue ce mardi à Mbacké au quartier «Tableau Caabi», il a annoncé la réactivation de sa plainte contre la première Dame du Sénégal. Face à ses militants et amis, le jeune Mbacké-Mbacké a invitée cette dernière à éclairer la lanterne des Sénégalais sur cet argent provenant d’une banque étrangère et que le flou, assure-t-il, entoure. «Je suis un citoyen qui m’interroge et j’ai le droit de poser des questions quand je ne comprends pas», a martelé l’ancien pensionnaire de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel.