Le lundi 25 janvier 2016, alors que les représentants de la SOMETA et des Banques étaient en réunion, nous avons tous été surpris par la Une du journal « ENQUETE » qui parlait d’escroquerie de la SOMETA envers les banques.
En attendant que les auteurs de cet article expliquent devant qui de droit quand et comment la SOMETA a escroqué les banques, nous souhaitons apporter les précisions suivantes sur la situation actuelle de l’entreprise :
‐ Aujourd’hui, la SOMETA comme quasiment toutes les entreprises du secteur métallurgique dans le monde, vit une situation financière et économique difficile liée principalement à la chute du prix de l’acier au niveau mondial près de 52% (320USD CAF port de Dakar contre 666USD en 2012) ;
‐ Cette baisse des matières premières intervenue moins de 24 mois après la mise en production de la fonderie n’a pas pu permettre à la Société d’atteindre sa vitesse de croisière et de réaliser de la rentabilité et le cash-flow espéré de l’investissement initial ;
‐ En outre, la faible rentabilité qui découle de cette situation conjoncturelle a occasionné une accumulation d’échéances impayées vis-à-vis des Banques et de la SENELEC ;
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Toutes ces difficultés et tant d’autres liées à l’environnement économique du Sénégal dont notamment le coût élevé de l’énergie et la cherté du financement ont contribué à rendre le « business model » non viable dans sa conception initiale.
Conscient de la nécessité d’adapter l’outil de production aux contraintes de l’environnement,
les actionnaires de la SOMETA ont débloqué un financement additionnel de 1,6 milliard de FCFA destinés à la réalisation d’investissements complémentaires notamment à l’acquisition de fours consommant moins d’énergie.
Dans le souci de mener à bien le Projet global et sauvegarder l’emploi de 602 Sénégalais, la SOMETA a eu recours aux dispositions légales assurant la protection des entreprises en difficultés. L’objectif visé étant de permettre la finalisation des investissements en cours dans la sérénité, et la relance de l’activité dans un contexte opérationnel nouveau garantissant une rentabilité acceptable et l’acquittement des engagements pris envers les partenaires. Pour rendre effective ce nouveau plan, la SOMETA a su compter sur :
- le soutien de l’Etat du Sénégal pour un allégement des coûts de l’énergie ;
- le plan de relance y compris le plan du remboursement de dettes élaboré par le cabinet international de concert avec l’expert désigné par la justice. Ce plan est en cours de négociation avec les banques.
C’est ce moment que choisit une certaine presse pour jeter le discrédit sur les efforts incommensurables et quotidiens qu’ensemble, SOMETA et pouvoirs publics, fournissons afin d’assurer un succès à ce Projet industrielle majeur. Les portes de l’entreprise restent ouvertes à tout journaliste désireux, de façon sincère et sans parti-pris, de s’informer sur les réalités de l’entreprise et du secteur.
Enfin, nous voudrions rappeler que la SOMETA est la seule fonderie moderne au Sénégal à capitaux privés chinois, baromètre de l’IDE chinois au Sénégal, 20 milliards FCFA déjà investis et ayant une capacité de production de 100 000 tonnes de fer à béton, du fil machine, du fer cornier à partir de la fusion de la ferraille de récupération avec un chiffre d’affaire annuel de 30 milliards de francs. Elle emploie 602 personnes dont 27
chinois et se positionne ainsi comme l’une des plus importantes industries au Sénégal. C’est cet acquis que nous travaillons à préserver et à consolider après 30 mois seulement de production.
LA DIRECTION GENERALE SOMETA S.A
En attendant que les auteurs de cet article expliquent devant qui de droit quand et comment la SOMETA a escroqué les banques, nous souhaitons apporter les précisions suivantes sur la situation actuelle de l’entreprise :
‐ Aujourd’hui, la SOMETA comme quasiment toutes les entreprises du secteur métallurgique dans le monde, vit une situation financière et économique difficile liée principalement à la chute du prix de l’acier au niveau mondial près de 52% (320USD CAF port de Dakar contre 666USD en 2012) ;
‐ Cette baisse des matières premières intervenue moins de 24 mois après la mise en production de la fonderie n’a pas pu permettre à la Société d’atteindre sa vitesse de croisière et de réaliser de la rentabilité et le cash-flow espéré de l’investissement initial ;
‐ En outre, la faible rentabilité qui découle de cette situation conjoncturelle a occasionné une accumulation d’échéances impayées vis-à-vis des Banques et de la SENELEC ;
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Toutes ces difficultés et tant d’autres liées à l’environnement économique du Sénégal dont notamment le coût élevé de l’énergie et la cherté du financement ont contribué à rendre le « business model » non viable dans sa conception initiale.
Conscient de la nécessité d’adapter l’outil de production aux contraintes de l’environnement,
les actionnaires de la SOMETA ont débloqué un financement additionnel de 1,6 milliard de FCFA destinés à la réalisation d’investissements complémentaires notamment à l’acquisition de fours consommant moins d’énergie.
Dans le souci de mener à bien le Projet global et sauvegarder l’emploi de 602 Sénégalais, la SOMETA a eu recours aux dispositions légales assurant la protection des entreprises en difficultés. L’objectif visé étant de permettre la finalisation des investissements en cours dans la sérénité, et la relance de l’activité dans un contexte opérationnel nouveau garantissant une rentabilité acceptable et l’acquittement des engagements pris envers les partenaires. Pour rendre effective ce nouveau plan, la SOMETA a su compter sur :
- le soutien de l’Etat du Sénégal pour un allégement des coûts de l’énergie ;
- le plan de relance y compris le plan du remboursement de dettes élaboré par le cabinet international de concert avec l’expert désigné par la justice. Ce plan est en cours de négociation avec les banques.
C’est ce moment que choisit une certaine presse pour jeter le discrédit sur les efforts incommensurables et quotidiens qu’ensemble, SOMETA et pouvoirs publics, fournissons afin d’assurer un succès à ce Projet industrielle majeur. Les portes de l’entreprise restent ouvertes à tout journaliste désireux, de façon sincère et sans parti-pris, de s’informer sur les réalités de l’entreprise et du secteur.
Enfin, nous voudrions rappeler que la SOMETA est la seule fonderie moderne au Sénégal à capitaux privés chinois, baromètre de l’IDE chinois au Sénégal, 20 milliards FCFA déjà investis et ayant une capacité de production de 100 000 tonnes de fer à béton, du fil machine, du fer cornier à partir de la fusion de la ferraille de récupération avec un chiffre d’affaire annuel de 30 milliards de francs. Elle emploie 602 personnes dont 27
chinois et se positionne ainsi comme l’une des plus importantes industries au Sénégal. C’est cet acquis que nous travaillons à préserver et à consolider après 30 mois seulement de production.
LA DIRECTION GENERALE SOMETA S.A