Ferdinand Nwabukiné a été attrait à la barre pour tentative de viol sur une femme mariée en l'occurrence Marième Thiam. Les faits se sont déroulés dans le paisible quartier de Hann Maristes. La dame a déclaré que Ferdinand lui avait promis de lui trouver du travail dans son magasin à Keur Massar. Interpelé, le prévenu a balayé tout d'un revers de main. Il a prétendu que la partie civile est sa copine. Etayant son propos, il dit avoir maintes fois entretenu des rapports sexuels avec la plaignante.
Le conseil de la dame s'est dit convaincu de la tentative de viol. Il a déclaré que le tribunal a assez d'éléments pour condamner le prévenu. Selon lui, le préjudice moral est énorme pour une dame mariée avant de réclamer la somme de 2.000.000 cfa à titre de dommages et intérêts.
Dans son réquisitoire, le Procureur a déclaré qu' aucun élément ne vient corroborer les dénégations du prévenu. Selon lui Ferdinand n'a pas produit des éléments de preuve prouvant que la plaignante est sa copine comme il le prétend. Il a soutenu qu'il faut disqualifier les faits en attentat à la pudeur avec violence avant de demander au tribunal de le déclarer coupable de ce chef et de le condamner à deux ans de prison ferme.
Revenant à la charge, l'avocat du prévenu soutiendra qu'il n'est pas d'accord avec disqualification. Il s'est dit convaincu que la partie civile est bel et bien la copine. Il a martelé être animé par un doute. Par conséquent, il a sollicité la relaxe de son client au bénéfice du doute.
La date du délibéré a été fixé au 09 septembre 2016.
Le conseil de la dame s'est dit convaincu de la tentative de viol. Il a déclaré que le tribunal a assez d'éléments pour condamner le prévenu. Selon lui, le préjudice moral est énorme pour une dame mariée avant de réclamer la somme de 2.000.000 cfa à titre de dommages et intérêts.
Dans son réquisitoire, le Procureur a déclaré qu' aucun élément ne vient corroborer les dénégations du prévenu. Selon lui Ferdinand n'a pas produit des éléments de preuve prouvant que la plaignante est sa copine comme il le prétend. Il a soutenu qu'il faut disqualifier les faits en attentat à la pudeur avec violence avant de demander au tribunal de le déclarer coupable de ce chef et de le condamner à deux ans de prison ferme.
Revenant à la charge, l'avocat du prévenu soutiendra qu'il n'est pas d'accord avec disqualification. Il s'est dit convaincu que la partie civile est bel et bien la copine. Il a martelé être animé par un doute. Par conséquent, il a sollicité la relaxe de son client au bénéfice du doute.
La date du délibéré a été fixé au 09 septembre 2016.