Il revient à dakarposte que c'est lors de son périple africain que le Président Barack Obama avait obtenu de ces pairs l'acceptation du transfert de prisonniers détenus au Centre de détention de la Baie de Guantanamo moyennant une assistance militaire.
Promis aux américains lors de la campagne électorale qui avait fini de le faire élire à la magistrature suprême des Etats Unis, la fermeture de Guantanamo malgré les verrous posés par le camp républicain, le Président Obama pour tenir parole a trouvé la parade en transférant ces indésirables prisonniers vers les pays pauvres particulièrement l'Afrique.
C'est ainsi que 17 autres croupissent dans les géôles africaines avec , force est de le reconnaitre, le lot de risques que cela implique pour nos pauvres pays.
Dakarposte tient de bonnes sources que les nommés Salam Abdu Salam Guereby et Omar Khalif Mohamed Abu Bakr Mahjour sont arrivés dans notre pays à bord d'un avion militaire américain,bien évidemment sous forte escorte dans la nuit du dimanche à lundi, coïncidant avec le jour anniversaire de notre accession à la souveraineté internationale.
Vous avez dit qu'Obama se rabat sur le Sénégal?
Barack Obama est plus que jamais décidé à faire de Guantanamo un mauvais souvenir avant la fin de son mandat. À cet effet, le président américain a mis le cap sur le Sénégal. Après le Ghana récemment, le département de la Défense des États-Unis a fait, ce lundi, une annonce qui confirme cette nouvelle stratégie de Washington : " Le transfert de Salem Abdu Salam Ghereby et Omar Khalif Mohammed Abu Baker Mahjour Umar du centre de détention de la baie de Guantanamo au gouvernement du Sénégal".
Soupçonnés d’avoir des liens avec Al-Qaïda et un groupe libyen composé de combattants islamistes, les deux détenus ont été conduits en direction du sol sénégalais pour, dit-on, des raisons de sécurité. Le Sénégal devient ainsi le 26e pays à accéder à la demande des États-Unis de recevoir des « pensionnaires » de cette prison tristement célèbre. Même si le Pentagone entend employer « tous les moyens possibles pour réduire le nombre de détenus à Guantanamo et fermer le centre de détention d’une manière responsable qui protège notre sûreté nationale », le problème de l’insécurité dans les pays d’accueil pourrait également se poser.
Notons que ces deux anciens pensionnaires de Guantanamo sont emprisonnés sans procès depuis près de 14 ans. Avec ce transfert, ils laissent derrière eux 89 autres codétenus qui attentent également de trouver une autre prison qui acceptera de les recevoir, avec tous les risques que cela comporte, bien sûr.
Pour le moment, le lieu où ces deux ex pensionnaires de Guantanamo sont détenus est tenu secret.
Essayant d'en savoir davantage auprès des services de sécurité, nous avons fait face à un mur et même quelques propos assimilables à des menaces voilées.
Donc après le Ghana, le Sénégal reçoit sa cargaison de dangereux prisonniers en ces heures d'incertitude sécuritaire.
En effet, notre pays rejoint ainsi 26 pays tiers qui, depuis 2009, ont accepté d'accueillir au total près d'une centaine d'anciens détenus de Guantanamo.
Il nous revient que dans leur "note",les États-Unis se disent "reconnaissants à l'égard du gouvernement du Sénégal pour son geste humanitaire et sa volonté de soutenir les efforts américains de fermer" la prison, promesse exprimée par le président Barack Obama dès sa campagne présidentielle en 2008.
Il est à espérer que les yankees assureront le "service après vente" après la livraison des deux "colis".
Promis aux américains lors de la campagne électorale qui avait fini de le faire élire à la magistrature suprême des Etats Unis, la fermeture de Guantanamo malgré les verrous posés par le camp républicain, le Président Obama pour tenir parole a trouvé la parade en transférant ces indésirables prisonniers vers les pays pauvres particulièrement l'Afrique.
C'est ainsi que 17 autres croupissent dans les géôles africaines avec , force est de le reconnaitre, le lot de risques que cela implique pour nos pauvres pays.
Dakarposte tient de bonnes sources que les nommés Salam Abdu Salam Guereby et Omar Khalif Mohamed Abu Bakr Mahjour sont arrivés dans notre pays à bord d'un avion militaire américain,bien évidemment sous forte escorte dans la nuit du dimanche à lundi, coïncidant avec le jour anniversaire de notre accession à la souveraineté internationale.
Vous avez dit qu'Obama se rabat sur le Sénégal?
Barack Obama est plus que jamais décidé à faire de Guantanamo un mauvais souvenir avant la fin de son mandat. À cet effet, le président américain a mis le cap sur le Sénégal. Après le Ghana récemment, le département de la Défense des États-Unis a fait, ce lundi, une annonce qui confirme cette nouvelle stratégie de Washington : " Le transfert de Salem Abdu Salam Ghereby et Omar Khalif Mohammed Abu Baker Mahjour Umar du centre de détention de la baie de Guantanamo au gouvernement du Sénégal".
Soupçonnés d’avoir des liens avec Al-Qaïda et un groupe libyen composé de combattants islamistes, les deux détenus ont été conduits en direction du sol sénégalais pour, dit-on, des raisons de sécurité. Le Sénégal devient ainsi le 26e pays à accéder à la demande des États-Unis de recevoir des « pensionnaires » de cette prison tristement célèbre. Même si le Pentagone entend employer « tous les moyens possibles pour réduire le nombre de détenus à Guantanamo et fermer le centre de détention d’une manière responsable qui protège notre sûreté nationale », le problème de l’insécurité dans les pays d’accueil pourrait également se poser.
Notons que ces deux anciens pensionnaires de Guantanamo sont emprisonnés sans procès depuis près de 14 ans. Avec ce transfert, ils laissent derrière eux 89 autres codétenus qui attentent également de trouver une autre prison qui acceptera de les recevoir, avec tous les risques que cela comporte, bien sûr.
Pour le moment, le lieu où ces deux ex pensionnaires de Guantanamo sont détenus est tenu secret.
Essayant d'en savoir davantage auprès des services de sécurité, nous avons fait face à un mur et même quelques propos assimilables à des menaces voilées.
Donc après le Ghana, le Sénégal reçoit sa cargaison de dangereux prisonniers en ces heures d'incertitude sécuritaire.
En effet, notre pays rejoint ainsi 26 pays tiers qui, depuis 2009, ont accepté d'accueillir au total près d'une centaine d'anciens détenus de Guantanamo.
Il nous revient que dans leur "note",les États-Unis se disent "reconnaissants à l'égard du gouvernement du Sénégal pour son geste humanitaire et sa volonté de soutenir les efforts américains de fermer" la prison, promesse exprimée par le président Barack Obama dès sa campagne présidentielle en 2008.
Il est à espérer que les yankees assureront le "service après vente" après la livraison des deux "colis".