La réunion d’échange, prévue ce mardi 20 décembre 2016, entre le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique et la classe politique, ne s’est pas terminée comme le souhaitait Abdoulaye Daouda Diallo. Les représentants de “Manko Wattu Senegaal”, arrivés sur les lieux, ont rebroussé chemin bien avant le début de la rencontre. Ils ont, auparavant, échangé avec le ministre, loin de la presse.
«Manko Wattu Senegaal a dit qu’il n’avait pas mandat pour venir à une rencontre de ce genre et qu’il avait plutôt sollicité une audience avec le président de la République. Ils (les représentants de Mankoo) voulaient donc faire le point sur un certain nombre de décisions qui ont été arrêtés durant cette audience-là. Donc, ils voulaient justement nous entretenir de cela. C’est ce qu’ils ont fait et sont repartis, parce que c’est le seul mandat qu’ils disent avoir, mais ils n’étaient pas habilités à discuter de ces points», a confié Abdoulaye Daouda Diallo devant les autres représentants de la majorité.
Il s’est précipité d'ajouter : «Je dis donc, ce n’était pas pour discuter des points, mais pour rendre compte de l’état des diligences. J’ai accepté de les entendre en leur disant que nous sommes dans le cadre d’un processus électoral et qu’il y a le besoin d’informer tous nos partenaires de la classe politique et de la société civile de ce que nous sommes en train de faire».
Auteur: Seneweb
«Manko Wattu Senegaal a dit qu’il n’avait pas mandat pour venir à une rencontre de ce genre et qu’il avait plutôt sollicité une audience avec le président de la République. Ils (les représentants de Mankoo) voulaient donc faire le point sur un certain nombre de décisions qui ont été arrêtés durant cette audience-là. Donc, ils voulaient justement nous entretenir de cela. C’est ce qu’ils ont fait et sont repartis, parce que c’est le seul mandat qu’ils disent avoir, mais ils n’étaient pas habilités à discuter de ces points», a confié Abdoulaye Daouda Diallo devant les autres représentants de la majorité.
Il s’est précipité d'ajouter : «Je dis donc, ce n’était pas pour discuter des points, mais pour rendre compte de l’état des diligences. J’ai accepté de les entendre en leur disant que nous sommes dans le cadre d’un processus électoral et qu’il y a le besoin d’informer tous nos partenaires de la classe politique et de la société civile de ce que nous sommes en train de faire».
Auteur: Seneweb