Le leader de l’UCS, Abdoulaye Baldé, qui annonçait sa candidature à la Présidentielle de 2019 souligne que l’élection d’un président dès le premier tour est révolu en Afrique. Le maire de Ziguinchor ne voit pas comment Macky Sall pour l’emporter dès la première manche.
« C’est fini, les premiers tours au Sénégal et en Afrique. L’exemple du Mali est patent. Je ne vois pas par quel miracle, il (Ndrl : Macky Sall) peut passer au premier tour, s’il n’ y a pas de forcing, mathématiquement, scientifiquement, aucun candidat ne peut passer au premier tour au Sénégal et même en Afrique », déclare-t-il. Il poursuit: « Je suis persuadé qu’il y aura un second à la présidentielle de 2019. Le président Abdou Diouf avait eu 42% au premier tour, au second tour, il a eu le même score. C’est le cas du président Me Abdoulaye Wade en 2012. Il a eu 34% au premier et au second tour il a eu le même score; on dirait que les présidents sortants font le plein au premier tour, au second tour, ils stagnent ».
« C’est fini, les premiers tours au Sénégal et en Afrique. L’exemple du Mali est patent. Je ne vois pas par quel miracle, il (Ndrl : Macky Sall) peut passer au premier tour, s’il n’ y a pas de forcing, mathématiquement, scientifiquement, aucun candidat ne peut passer au premier tour au Sénégal et même en Afrique », déclare-t-il. Il poursuit: « Je suis persuadé qu’il y aura un second à la présidentielle de 2019. Le président Abdou Diouf avait eu 42% au premier tour, au second tour, il a eu le même score. C’est le cas du président Me Abdoulaye Wade en 2012. Il a eu 34% au premier et au second tour il a eu le même score; on dirait que les présidents sortants font le plein au premier tour, au second tour, ils stagnent ».