C’est le verdict sans appel du président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act), Abdoul Mbaye, prononcé contre l’un des projets phares du Président Macky Sall. Un projet de 500 milliards de francs CFA, selon les chiffres officiels.
Pour l’ancien Premier ministre, les priorités sont ailleurs. Il dit : «On sent bien qu’il s’agit d’un projet de prestige et le Sénégal a besoin d’autres choses. Effectivement, puisqu’il s’agit de train, ce dont je souffre le plus, c’est de constater, lorsque vous vous rendez à Saint-Louis ou ailleurs sur les routes qui longent les anciennes villes de chemin de fer, ces investissements qui ont cessé d’être utilisés et qui, pourtant, étaient tellement utiles à notre économie.»
A la place de Macky Sall, Abdoul Mbaye dit qu’il aurait consacré l’enveloppe destinée au TER «à la réhabilitation de notre chemin de fer qui est en faillite». Il ajoute : «Dans les pays du monde qui peuvent se prétendre émergents- je crois que c’est le cas au Sénégal-, on ne constate pas des reculs aussi importants. C’est-à-dire un chemin de fer qui fonctionnait et qui aujourd’hui, marche moins bien qu’il y a cinquante ou soixante ans, il y a problème.»
ENQUETE
Pour l’ancien Premier ministre, les priorités sont ailleurs. Il dit : «On sent bien qu’il s’agit d’un projet de prestige et le Sénégal a besoin d’autres choses. Effectivement, puisqu’il s’agit de train, ce dont je souffre le plus, c’est de constater, lorsque vous vous rendez à Saint-Louis ou ailleurs sur les routes qui longent les anciennes villes de chemin de fer, ces investissements qui ont cessé d’être utilisés et qui, pourtant, étaient tellement utiles à notre économie.»
A la place de Macky Sall, Abdoul Mbaye dit qu’il aurait consacré l’enveloppe destinée au TER «à la réhabilitation de notre chemin de fer qui est en faillite». Il ajoute : «Dans les pays du monde qui peuvent se prétendre émergents- je crois que c’est le cas au Sénégal-, on ne constate pas des reculs aussi importants. C’est-à-dire un chemin de fer qui fonctionnait et qui aujourd’hui, marche moins bien qu’il y a cinquante ou soixante ans, il y a problème.»
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