Seneweb.com | Abdou Aziz Tall, ministre auprès du Président de la République, chargé du suivi du Plan Sénégal émergent (Pse), a soutenu que les projets et réformes phares, lancés dans le cadre de la première vague du Pse, ont connu «un niveau de réalisation assez satisfaisant». Et qu’à travers le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc), le gouvernement est en train de mettre en place des infrastructures et des équipements qui ont «permis de désenclaver les zones rurales, l’accès à l’eau, l’électricité et de promouvoir l’entrepreneuriat rural».
Il a aussi soutenu que l’année précédente a été marquée par la bonne progression des indicateurs socio-économiques. «L’activité économique s’est nettement revigorée en 2015, avec une croissance du Pib réel estimée à 6,5% contre 4,3% en 2014», a-t-il noté en présidant, au nom du ministre Amadou Ba, l’atelier de validation technique de la Revue annuelle conjointe de la politique économique et sociale, ce jeudi 23 juin 2016, à Dakar.
De l’avis de M. Tall, cette performance de l’économie sénégalaise est «d’abord imputable à la bonne mise en œuvre, au pilotage et au suivi rapproché du Pse», mais également et plus spécifiquement à la «bonne campagne agricole 2015-2016 et au regain de dynamisme dans le secteur secondaire».
Sur le plan sectoriel, Abdou Aziz Tall note que des «avancées significatives ont été enregistrées dans l’agriculture, l’habitat et l’aménagement urbain, l’énergie, les infrastructures, l’éducation, la santé et la protection sociale».
Toutefois, le ministre en charge du suivi du Pse n’a pas manqué de préciser que le secteur des services a été «moins performant». Il estime que cette situation est due à «l’effet du ralentissement des Postes et télécommunications et des difficultés structurelles du secteur touristique, accentuées par les conditions sanitaires et sécuritaires dans la sous-région».
Pour Abdou Aziz Tall, le gouvernement du Sénégal doit accorder «une attention particulière» au processus de réalisation des Objectifs de développement durable (Odd). Et pour ce faire, il estime qu’il faut «un renforcement des capacités institutionnelles du pays afin de contribuer à une plus grande appropriation nationale, une meilleure hiérarchisation des priorités et une opérationnalisation des dispositifs institutionnels de suivi et d’évaluation».
Selon lui, le Cadre harmonisé de suivi et d’évaluation des politiques publiques (Case) devra, encore une fois, renforcer ses interventions et veiller davantage à une plus grande articulation de nos outils de suivi-évaluation avec le souci de réalisation des Odd.
Sous ce rapport, le ministre en charge du suivi du Pse a exhorté les membres du Comité de préparation des revues, la Direction générale de la planification et des politiques économiques, la Direction générale du Bureau opérationnel de suivi du Pse, la Direction générale du Bureau organisation et méthode et l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, à s’atteler à la détermination d’un périmètre restreint d’indicateurs à suivre ainsi qu’à la mise en place d’un cadre de pilotage des Odd, à la vulgarisation et la mise en cohérence de l’agenda mondial avec notre politique économique et sociale.
Il a aussi soutenu que l’année précédente a été marquée par la bonne progression des indicateurs socio-économiques. «L’activité économique s’est nettement revigorée en 2015, avec une croissance du Pib réel estimée à 6,5% contre 4,3% en 2014», a-t-il noté en présidant, au nom du ministre Amadou Ba, l’atelier de validation technique de la Revue annuelle conjointe de la politique économique et sociale, ce jeudi 23 juin 2016, à Dakar.
De l’avis de M. Tall, cette performance de l’économie sénégalaise est «d’abord imputable à la bonne mise en œuvre, au pilotage et au suivi rapproché du Pse», mais également et plus spécifiquement à la «bonne campagne agricole 2015-2016 et au regain de dynamisme dans le secteur secondaire».
Sur le plan sectoriel, Abdou Aziz Tall note que des «avancées significatives ont été enregistrées dans l’agriculture, l’habitat et l’aménagement urbain, l’énergie, les infrastructures, l’éducation, la santé et la protection sociale».
Toutefois, le ministre en charge du suivi du Pse n’a pas manqué de préciser que le secteur des services a été «moins performant». Il estime que cette situation est due à «l’effet du ralentissement des Postes et télécommunications et des difficultés structurelles du secteur touristique, accentuées par les conditions sanitaires et sécuritaires dans la sous-région».
Pour Abdou Aziz Tall, le gouvernement du Sénégal doit accorder «une attention particulière» au processus de réalisation des Objectifs de développement durable (Odd). Et pour ce faire, il estime qu’il faut «un renforcement des capacités institutionnelles du pays afin de contribuer à une plus grande appropriation nationale, une meilleure hiérarchisation des priorités et une opérationnalisation des dispositifs institutionnels de suivi et d’évaluation».
Selon lui, le Cadre harmonisé de suivi et d’évaluation des politiques publiques (Case) devra, encore une fois, renforcer ses interventions et veiller davantage à une plus grande articulation de nos outils de suivi-évaluation avec le souci de réalisation des Odd.
Sous ce rapport, le ministre en charge du suivi du Pse a exhorté les membres du Comité de préparation des revues, la Direction générale de la planification et des politiques économiques, la Direction générale du Bureau opérationnel de suivi du Pse, la Direction générale du Bureau organisation et méthode et l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, à s’atteler à la détermination d’un périmètre restreint d’indicateurs à suivre ainsi qu’à la mise en place d’un cadre de pilotage des Odd, à la vulgarisation et la mise en cohérence de l’agenda mondial avec notre politique économique et sociale.