L’utilisation des Technologies de l’information et de la communication dans divers domaines d’activités génère beaucoup de défis à relever, soutient le Directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp au cours d’un séminaire de formation et de partage, initié par sa structure en collaboration avec le Réseau des journalistes en Technologie de l’information et de la Communication ((Rejotic).
Les Tic évoluent de manière exponentielle, leur utilisation devenue incontournable. C’est un secteur en pleine croissance dont le dynamisme va permettre aux autres secteurs de se développer, selon Abdou Karim Sall, Directeur Général de l’Artp.
« Le secteur des télécommunications représente près de 10 % du Pib en 2014. Il est l’un des secteurs les plus dynamiques du tertiaire et par ricochet, constitue un secteur majeur de l’économie du Sénégal, en forte croissance, s’appuyant en cela sur le développement du marché mobile et des services de capacité. Secteur d’infrastructures, il fait l’objet d’investissements substantiels, gages de développement technologique, d’innovation, création d’emplois et de démocratisation des services », a déclaré le DG de l’Artp.
Ce pourcentage n’est pas fortuit, car le Sénégal est en train de faire des efforts considérables en matière de télécom. La preuve, l’Union internationale des télécommunications classe notre pays à la 11e place au niveau africain et à la 3e au niveau sous-régional, derrière le Cap-Vert et le Ghana.
« Nous travaillons à maintenir notre position de leader dans la sous-région, mais également à développer de manière significative le secteur des télécommunications et des Tics) », rassure Abdou Karim Sall sur un ton déterminé.
Lors de cette rencontre, le secteur postal n’a pas été laissé en rade puisque l’on parle de régulation des télécommunications et des postes. Selon M. Sall, plus d’un million de Sénégalais ont, au courant de l’année 2015, acheté des produits à travers internet. Ce qui lui fait dire que « d’ici 2020, le marché du commerce électronique sera très dynamique. Par conséquent, le Sénégal doit prendre les devants ». Cette anticipation consiste en une fusion ou collaboration entre la poste et les Télécoms. Cela va permettre à chaque citoyen Sénégalais de faire une commande de marchandises (en ligne) et de se faire livrer chez lui. « Cette activité ne peut se développer qu’en dotant le Sénégal d’un système d’adressage cohérent, permettant de développer le commerce en ligne », dit Abdou Karim Sall.
Les Tic évoluent de manière exponentielle, leur utilisation devenue incontournable. C’est un secteur en pleine croissance dont le dynamisme va permettre aux autres secteurs de se développer, selon Abdou Karim Sall, Directeur Général de l’Artp.
« Le secteur des télécommunications représente près de 10 % du Pib en 2014. Il est l’un des secteurs les plus dynamiques du tertiaire et par ricochet, constitue un secteur majeur de l’économie du Sénégal, en forte croissance, s’appuyant en cela sur le développement du marché mobile et des services de capacité. Secteur d’infrastructures, il fait l’objet d’investissements substantiels, gages de développement technologique, d’innovation, création d’emplois et de démocratisation des services », a déclaré le DG de l’Artp.
Ce pourcentage n’est pas fortuit, car le Sénégal est en train de faire des efforts considérables en matière de télécom. La preuve, l’Union internationale des télécommunications classe notre pays à la 11e place au niveau africain et à la 3e au niveau sous-régional, derrière le Cap-Vert et le Ghana.
« Nous travaillons à maintenir notre position de leader dans la sous-région, mais également à développer de manière significative le secteur des télécommunications et des Tics) », rassure Abdou Karim Sall sur un ton déterminé.
Lors de cette rencontre, le secteur postal n’a pas été laissé en rade puisque l’on parle de régulation des télécommunications et des postes. Selon M. Sall, plus d’un million de Sénégalais ont, au courant de l’année 2015, acheté des produits à travers internet. Ce qui lui fait dire que « d’ici 2020, le marché du commerce électronique sera très dynamique. Par conséquent, le Sénégal doit prendre les devants ». Cette anticipation consiste en une fusion ou collaboration entre la poste et les Télécoms. Cela va permettre à chaque citoyen Sénégalais de faire une commande de marchandises (en ligne) et de se faire livrer chez lui. « Cette activité ne peut se développer qu’en dotant le Sénégal d’un système d’adressage cohérent, permettant de développer le commerce en ligne », dit Abdou Karim Sall.