L’affaire de la mise à sac de la maison du Parti Socialiste(Ps) avance très vite. Moins d’un mois après leur inculpation et leur placement sous mandat de dépôt, les socialistes ont été auditionnes sur le fond du probléme. Bamba Fall a été auditionné hier par le doyen des juges. Il est nié les faits et se décharge sur Tanor Dieng. Ses avocats ont introduit une demande de mise en liberté provisoire. Le temps de la justice n’est le temps civil.
Mais cette vérité ne concerne en rien les dossiers politiques. En fait, les affaires politico- judiciaires se règlent le plus souvent en un temps record. Et l’affaire du maire de la médina, inculpé et placé sous mandat de dépôt le 9 janvier, auditionné hier par le Doyen des juges pour tentative d’assassinat, violences et voies de fait, destruction de biens appartenant à autrui, injures publiques et menace de mort N’échappe pas à la régle.
En moins d’un mois, Bamba Fall et Cie ont été inculpés, écrouées et auditionné sur le fond du dossier. Bamba Fall a été entendu sur le fond du dossier par le Doyen Samba Sall. Le maire de la médina, selon des sources bien au fait des choses, est resté sur ces dénégations. Le maire socialiste estime que tout ce qu’ils endurent, lui et ses co-inculpés, est à mettre dans le cadre d’une mascarade politique par le secrétaire général du parti socialiste(Ps), Ousmane Tanor Dieng. Ce qui l’aurait poussé à déclarer qu’il ne pardonnera jamais à Tanor Dieng tout ça et s’en remettait à Dieu, comme l’avait fait son homonyme (Cheikh Ahmadou Bamba) face aux colons. Après cette audition du maire de la médina, ses avocats en ont profité pour introduire une mise en liberté provisoire. Les conseils de Bamba Fall se sont appuyés sur les arguments classiques pour plaider cette demande de mise en liberté provisoire à savoir que l’inculpé est régulièrement domicile et qu’il occupe un poste électif. Mais aussi l’absence de menace de trouble à l’ordre publique. Toutes choses qui lui permettre de répondre à chaque fois que la justice fera appel à lui. Ils ont surtout insisté sur son statut de maire pour plaider la mise en liberté. Ils sont confiant que le Doyen des juges accédera à leur demande pour la bonne raison que ce dossier est vide. C’est aujourd’hui, que cette demande de liberté provisoire sera communiquée au parquet et le procureur de la république donnera son avis. Les jours à venir seront ainsi décisif pour Bamba Fall et ses amis du parti socialiste. Cette affaire a éclaté le 05 Mars 2016. Ce jour-là une réunion du bureau politique devait se tenir pour définir la position à adopter pour le Référendum. Ousmane Tanor Dieng et son camp avaient adopté pour le « Oui ». Et la colère des partisans du « Non » s’est déversée sur la maison du parti, qui a été saccagé. La direction du parti socialiste a porté plainte devant le procureur de la République pour tirer cette affaire au claire. L’enquête mené par le Brigade des affaires générales(Bag) de la Division des investissements criminelles (Dic) a permis d’entendre 170 personne, identifiées grâce à des vidéos de surveillance. Au final, 10 personnes ont été accusées de cette mise en sac. Elles ont été inculpées des infractions de tentative d’assassinat, violence et voies de fait, destruction de biens appartenant à autrui, injures publiques et menaces de mort et envoyés en prison.
Mais cette vérité ne concerne en rien les dossiers politiques. En fait, les affaires politico- judiciaires se règlent le plus souvent en un temps record. Et l’affaire du maire de la médina, inculpé et placé sous mandat de dépôt le 9 janvier, auditionné hier par le Doyen des juges pour tentative d’assassinat, violences et voies de fait, destruction de biens appartenant à autrui, injures publiques et menace de mort N’échappe pas à la régle.
En moins d’un mois, Bamba Fall et Cie ont été inculpés, écrouées et auditionné sur le fond du dossier. Bamba Fall a été entendu sur le fond du dossier par le Doyen Samba Sall. Le maire de la médina, selon des sources bien au fait des choses, est resté sur ces dénégations. Le maire socialiste estime que tout ce qu’ils endurent, lui et ses co-inculpés, est à mettre dans le cadre d’une mascarade politique par le secrétaire général du parti socialiste(Ps), Ousmane Tanor Dieng. Ce qui l’aurait poussé à déclarer qu’il ne pardonnera jamais à Tanor Dieng tout ça et s’en remettait à Dieu, comme l’avait fait son homonyme (Cheikh Ahmadou Bamba) face aux colons. Après cette audition du maire de la médina, ses avocats en ont profité pour introduire une mise en liberté provisoire. Les conseils de Bamba Fall se sont appuyés sur les arguments classiques pour plaider cette demande de mise en liberté provisoire à savoir que l’inculpé est régulièrement domicile et qu’il occupe un poste électif. Mais aussi l’absence de menace de trouble à l’ordre publique. Toutes choses qui lui permettre de répondre à chaque fois que la justice fera appel à lui. Ils ont surtout insisté sur son statut de maire pour plaider la mise en liberté. Ils sont confiant que le Doyen des juges accédera à leur demande pour la bonne raison que ce dossier est vide. C’est aujourd’hui, que cette demande de liberté provisoire sera communiquée au parquet et le procureur de la république donnera son avis. Les jours à venir seront ainsi décisif pour Bamba Fall et ses amis du parti socialiste. Cette affaire a éclaté le 05 Mars 2016. Ce jour-là une réunion du bureau politique devait se tenir pour définir la position à adopter pour le Référendum. Ousmane Tanor Dieng et son camp avaient adopté pour le « Oui ». Et la colère des partisans du « Non » s’est déversée sur la maison du parti, qui a été saccagé. La direction du parti socialiste a porté plainte devant le procureur de la République pour tirer cette affaire au claire. L’enquête mené par le Brigade des affaires générales(Bag) de la Division des investissements criminelles (Dic) a permis d’entendre 170 personne, identifiées grâce à des vidéos de surveillance. Au final, 10 personnes ont été accusées de cette mise en sac. Elles ont été inculpées des infractions de tentative d’assassinat, violence et voies de fait, destruction de biens appartenant à autrui, injures publiques et menaces de mort et envoyés en prison.