Il n’est jamais trop tard pour bien faire selon l’adage. Mais suite aux déclarations du PCA de l’IPRES lors du match IPRES/CSS du week-end, pour paraphraser, je dirai il n’est jamais trop tard pour bien dire en attendant
Quand des aveux et des promesses sont faits, il faut s’en féliciter et d’autre part espérer sous un prisme de raison tant on est habitué à la désinformation, la mal gouvernance de l’institution et des promesses tenues. Simple rappel, l’IPRES doit au moment où ces lignes sont écrites à ses pensionnés 3 années d’augmentation de pensions reconnues en mettant en bandoulière la non satisfaction de cette recommandation actée depuis longtemps sur le dos du gouvernement qui n’aurait pas versé sa part lors de la mise en œuvre de la pension minimale
« Il nous faut revoir notre train de vie au niveau de nos institutions. Il faut que nous puissions réduire notre train de vie. Ainsi, c’est un plan d’économie à grande échelle que nous devons avoir, a rappelé le président du conseil d’administration de l’IPRES il demande au directeur général de l’IPRES de tenir un langage de vérité aux travailleurs de l’institution pour leur faire savoir que ce qui était possible, ne l’est plus » a dit le PCA. Le personnel appréciera cette sortie qui veut leur faire porter le lourd fardeau de la situation bien vrai qu’l ait bénéficié d’une subvention illégale de plus d’un milliard et en plus d’être lourdement endetté intra-muros
Terribles, dégoutants, et sinistres aveux qui confortent les retraités du pays dans leur écrasante majorité sur l’utilisation qui est faite de leurs économies par des actifs inconscients. Quand dans mes articles je qualifie la gestion criminelle de l’IPRES, le mot n’est pas de trop
Comme on me l’a appris en droit, l’aveu est la mère des 5 modes de preuves prévues par la loi.
Le train de vie dispendieux au sein de cette institution combiné à la mal gouvernance qui y prévaut n’échappe qu’a ceux qui y en vivent. L’IPRES est en fait une véritable vache à lait pour l’Etat, son top management, son personnel et leurs 3 principales associations bien connues de tous. D’ailleurs on va en parler de ces histoires de check off qui alimentent les ventres des défenseurs zélés et sans vergogne du PCA
La masse salariale élastique est sans commune mesure avec la mission de l'ipres, avec le gonflement indu de l'effectif chaque année.
Oui le train de vie est excessif avec une masse salariale qui prend l’ascenseur passant de 6.098.184.184 en 2018 à 6.406.752.304 en 2021 et ces chiffres sont sourcés par les propres services financiers de l’IPRES
L’audit comptable, financier, immobilier et des ressources humaines est une exigence
La vente des 135.000 actions SONATEL détenues par l’IPRES ne répondait à aucune logique de rentabilité financière car ayant servi à financer le monument de la Renaissance sans compter les participations au niveau de la SIAS et Sénégal Air Lines, Providence, BNDE qui ont englouti 1.700.000.000 sans retombées. Les 2 premières nommées ont d’ailleurs été dissoutes
Le Fond Social est passé de 68.117.000.000 à 1.591.537.010 en 2010. Qu’en est-il en ce moment et à qui profite-t-il ? Suivez mon regard
Quant aux charges administratives, elles sont passées de 8,754 milliards FCFA en 2012 à près de 14 milliards FCFA en 2016. Pour l’année 2018, les charges sont estimées à 17,6 milliards FCFA.
Les frais de gestion de 11,2 milliards FCFA en 2015, ont atteint 17,9 milliards FCFA en 2020.
Voilà l’essentiel du train de vie insolent et ignoble qui a englouti la trésorerie de L’IPRES sans compter le pactole à milliards investi dans le ciment et rien d’autre
Les explications alambiquées, fantaisistes et contorsions qui font dans l’élégance sémantique ne nous détournera pas de la lutte pour mettre fin à cette délinquance financière sans précédent et la cadence va s’accélérer très prochainement
Salif N’diaye
Quand des aveux et des promesses sont faits, il faut s’en féliciter et d’autre part espérer sous un prisme de raison tant on est habitué à la désinformation, la mal gouvernance de l’institution et des promesses tenues. Simple rappel, l’IPRES doit au moment où ces lignes sont écrites à ses pensionnés 3 années d’augmentation de pensions reconnues en mettant en bandoulière la non satisfaction de cette recommandation actée depuis longtemps sur le dos du gouvernement qui n’aurait pas versé sa part lors de la mise en œuvre de la pension minimale
« Il nous faut revoir notre train de vie au niveau de nos institutions. Il faut que nous puissions réduire notre train de vie. Ainsi, c’est un plan d’économie à grande échelle que nous devons avoir, a rappelé le président du conseil d’administration de l’IPRES il demande au directeur général de l’IPRES de tenir un langage de vérité aux travailleurs de l’institution pour leur faire savoir que ce qui était possible, ne l’est plus » a dit le PCA. Le personnel appréciera cette sortie qui veut leur faire porter le lourd fardeau de la situation bien vrai qu’l ait bénéficié d’une subvention illégale de plus d’un milliard et en plus d’être lourdement endetté intra-muros
Terribles, dégoutants, et sinistres aveux qui confortent les retraités du pays dans leur écrasante majorité sur l’utilisation qui est faite de leurs économies par des actifs inconscients. Quand dans mes articles je qualifie la gestion criminelle de l’IPRES, le mot n’est pas de trop
Comme on me l’a appris en droit, l’aveu est la mère des 5 modes de preuves prévues par la loi.
Le train de vie dispendieux au sein de cette institution combiné à la mal gouvernance qui y prévaut n’échappe qu’a ceux qui y en vivent. L’IPRES est en fait une véritable vache à lait pour l’Etat, son top management, son personnel et leurs 3 principales associations bien connues de tous. D’ailleurs on va en parler de ces histoires de check off qui alimentent les ventres des défenseurs zélés et sans vergogne du PCA
La masse salariale élastique est sans commune mesure avec la mission de l'ipres, avec le gonflement indu de l'effectif chaque année.
Oui le train de vie est excessif avec une masse salariale qui prend l’ascenseur passant de 6.098.184.184 en 2018 à 6.406.752.304 en 2021 et ces chiffres sont sourcés par les propres services financiers de l’IPRES
L’audit comptable, financier, immobilier et des ressources humaines est une exigence
La vente des 135.000 actions SONATEL détenues par l’IPRES ne répondait à aucune logique de rentabilité financière car ayant servi à financer le monument de la Renaissance sans compter les participations au niveau de la SIAS et Sénégal Air Lines, Providence, BNDE qui ont englouti 1.700.000.000 sans retombées. Les 2 premières nommées ont d’ailleurs été dissoutes
Le Fond Social est passé de 68.117.000.000 à 1.591.537.010 en 2010. Qu’en est-il en ce moment et à qui profite-t-il ? Suivez mon regard
Quant aux charges administratives, elles sont passées de 8,754 milliards FCFA en 2012 à près de 14 milliards FCFA en 2016. Pour l’année 2018, les charges sont estimées à 17,6 milliards FCFA.
Les frais de gestion de 11,2 milliards FCFA en 2015, ont atteint 17,9 milliards FCFA en 2020.
Voilà l’essentiel du train de vie insolent et ignoble qui a englouti la trésorerie de L’IPRES sans compter le pactole à milliards investi dans le ciment et rien d’autre
Les explications alambiquées, fantaisistes et contorsions qui font dans l’élégance sémantique ne nous détournera pas de la lutte pour mettre fin à cette délinquance financière sans précédent et la cadence va s’accélérer très prochainement
Salif N’diaye