De l'économie de la plainte du pasteur répondant au nom de Vincent Bamedele Okoh, il ressort qu'il a découvert le vol de ses bagages peu après sa descente à l'aéroport de Dakar. L'avion de la compagnie Air Algerie (ndlr: AH 2010) qu'il avait prit, venait alors de Paris, via Alger. "Lors des formalités d'enregistrement à Paris, je me suis enregistré un seul bagage comportant des effets vestimentaires, des chaussures, deux coffrets à bijoux pour femme et deux tablettes ordinateur de marque Samsung" a expliqué le pasteur. Non sans indiquer qu'après les formalités de police à l'aéroport de Dakar, il s'est rendu compte en zone livraison des bagages que les siens n'étaient pas arrivés à destination. Désemparé, il s'est alors rendu au niveau du service litige/bagages de l'aéroport où il fait une réclamation avant que ne lui soit remis un recu.
Le pasteur se présente à nouveau au dit service et à sa grande surprise, un certain Souaré(qui serait le responsable du service), selon ses termes, lui dit que son bagage est bien arrivé à destination. Mais, contre toute attente, le pasteur découvre que les cadenas ont été cassés. Il dit avoir fait la remarque au responsable (M. Souaré). "A sa présence, je l'a alors ouvert , mais malheureusement certains de mes bagages n'y étaient pas" fait savoir Okoh aux limiers enquêteurs. Dans l'énumération des objets volés figurent deux tablettes d'ordinateur de marque Samsung et deux coffrets de bijoux en or.
C'est ainsi que M. Souaré lui demande la déclaration de l'aéroport avant de faire le constat d'usage pour ensuite demander au pasteur de rester à l'écoute. Entre temps, il allait transmettre le dossier au niveau du siège de la compagnie Air Algerie.
"Après une longue attente, renchérit le pasteur, je m'étais rendu au niveau du siège de la compagnie et on m'a dit qu'aucun dossier me concernant n'a été transmis par la société d'assistance SHS à leur niveau".
Las, le pasteur finit alors par porter plainte contre la compagnie Air Algerie.
Et, vous savez quoi? Convoqué pour les besoins de l'enquête, le chef d'escale d'Air Algerie dégage en touche. En effet, le sieur S. S. a laissé entendre que dans ce cas de figure, sa compagnie dégage toutes ses responsabilités. "D'ailleurs, il est formellement interdit de mettre dans un bagage à soute des objets de valeur" argumente le chef d'escale d'Air Algerie. Non sans révéler que c'est la société d'assistance à l'aéroport qui transmet le dossier au niveau de leur siège pour les besoins d'un dédommagement.
Affaire à suivre...
Le pasteur se présente à nouveau au dit service et à sa grande surprise, un certain Souaré(qui serait le responsable du service), selon ses termes, lui dit que son bagage est bien arrivé à destination. Mais, contre toute attente, le pasteur découvre que les cadenas ont été cassés. Il dit avoir fait la remarque au responsable (M. Souaré). "A sa présence, je l'a alors ouvert , mais malheureusement certains de mes bagages n'y étaient pas" fait savoir Okoh aux limiers enquêteurs. Dans l'énumération des objets volés figurent deux tablettes d'ordinateur de marque Samsung et deux coffrets de bijoux en or.
C'est ainsi que M. Souaré lui demande la déclaration de l'aéroport avant de faire le constat d'usage pour ensuite demander au pasteur de rester à l'écoute. Entre temps, il allait transmettre le dossier au niveau du siège de la compagnie Air Algerie.
"Après une longue attente, renchérit le pasteur, je m'étais rendu au niveau du siège de la compagnie et on m'a dit qu'aucun dossier me concernant n'a été transmis par la société d'assistance SHS à leur niveau".
Las, le pasteur finit alors par porter plainte contre la compagnie Air Algerie.
Et, vous savez quoi? Convoqué pour les besoins de l'enquête, le chef d'escale d'Air Algerie dégage en touche. En effet, le sieur S. S. a laissé entendre que dans ce cas de figure, sa compagnie dégage toutes ses responsabilités. "D'ailleurs, il est formellement interdit de mettre dans un bagage à soute des objets de valeur" argumente le chef d'escale d'Air Algerie. Non sans révéler que c'est la société d'assistance à l'aéroport qui transmet le dossier au niveau de leur siège pour les besoins d'un dédommagement.
Affaire à suivre...