Départ en trombe. Tout n’est pas prêt mais l’aéroport international Blaise Diagne de Diass a été inauguré, hier, par le chef de l’Etat.
Des voyageurs qui sont arrivés hier par un vol de la compagnie Iberia vers 22 heures n’ont pu arriver chez eux que vers 3 heures du matin. Selon certains d’entre eux, qui ont joint WalfQuotidien, c’était une pagaille monstre. «Ils avaient mélangé tous les vols dans les mêmes tapis. Quand tu sors, les gens vous réclament 20 mille francs Cfa pour rallier Dakar au lieu des 13 mille francs clamés partout. Cela, en plus des frais d’autoroute en charge du passager», rapporte une de ces sources.
Face à ces désagréments, les équipes de l’aéroport se sont confondues en excuses, expliquant ces errements par les débuts toujours difficiles. «Un pays ne peut pas d’un aéroport au centre-ville taxer les passagers sur tout. Même dans les pays développés, on ne rackette pas odieusement les voyageurs. Je ne sais pas comment l’Etat va faire avec tous ses agents qui vont en voyage tous les jours», s’indigne un de ces passagers.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Narrant leur calvaire, un autre passager rufisquois ajoute : «Il y a certes, énormément de guichet de police mais il n’y avait que trois hommes pour tout ce beau monde».
Ces errements signalés au nouvel aéroport confirment les inquiétudes de ceux qui mettaient l’opinion en garde contre une telle précipitation des pouvoirs publics. En effet, nombre de travailleurs de la plateforme de l’aéroport Léopold Sédar Senghor soulignaient dans les médias que tout n’était pas fin prêt à l’Aibd pour un décollage le 7 décembre, surtout avec les prix exorbitants pratiqués par le gestionnaire Lima-Aibd-Suma (Las). Lequel se voit gracieusement confié l’exploitation d’une infrastructure de près de 800 milliards financée principalement par la Redevance de développement des infrastructures aéroportuaires (Rdia).
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Seyni DIOP
Des voyageurs qui sont arrivés hier par un vol de la compagnie Iberia vers 22 heures n’ont pu arriver chez eux que vers 3 heures du matin. Selon certains d’entre eux, qui ont joint WalfQuotidien, c’était une pagaille monstre. «Ils avaient mélangé tous les vols dans les mêmes tapis. Quand tu sors, les gens vous réclament 20 mille francs Cfa pour rallier Dakar au lieu des 13 mille francs clamés partout. Cela, en plus des frais d’autoroute en charge du passager», rapporte une de ces sources.
Face à ces désagréments, les équipes de l’aéroport se sont confondues en excuses, expliquant ces errements par les débuts toujours difficiles. «Un pays ne peut pas d’un aéroport au centre-ville taxer les passagers sur tout. Même dans les pays développés, on ne rackette pas odieusement les voyageurs. Je ne sais pas comment l’Etat va faire avec tous ses agents qui vont en voyage tous les jours», s’indigne un de ces passagers.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Narrant leur calvaire, un autre passager rufisquois ajoute : «Il y a certes, énormément de guichet de police mais il n’y avait que trois hommes pour tout ce beau monde».
Ces errements signalés au nouvel aéroport confirment les inquiétudes de ceux qui mettaient l’opinion en garde contre une telle précipitation des pouvoirs publics. En effet, nombre de travailleurs de la plateforme de l’aéroport Léopold Sédar Senghor soulignaient dans les médias que tout n’était pas fin prêt à l’Aibd pour un décollage le 7 décembre, surtout avec les prix exorbitants pratiqués par le gestionnaire Lima-Aibd-Suma (Las). Lequel se voit gracieusement confié l’exploitation d’une infrastructure de près de 800 milliards financée principalement par la Redevance de développement des infrastructures aéroportuaires (Rdia).
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Seyni DIOP