Un phénomène que les dakarois commençaient à oublier se rappelle à nos bons souvenirs depuis quelques jours.Les vols avec violence ou les vols avec usage de moto se font de plus en plus récurrents sur les grands axes de la capitale et surtout aux encablures des marchés .
En effet, il ne se passe plus jour sans que les commissariats de police ou brigade de gendarmerie n'enregistrent une pléthore de plaintes. Seulement, les forces de sécurité quoi qu'animés par une bonne volonté de maintien de l'ordre, manquent d'effectif.
Il nous revient que nombre d'officiers ont beau décrié cela, mais en vain.
Ndeye Fatou du nom de cette dame qui a été victime d'une agression alors qu'elle se trouvait dans un taxi aux alentours de la patte d'oie nous livre un témoignage qui fait froid dans le dos."J'avais pris un taxi le vendredi pour aller remettre des colis que mon mari avait ramené d'Espagne; et il devait faire 19 heures quand arrivée à hauteur du pont qui fait face à Nabil Choucair,deux jeunes profitant de l'embouteillage qu'il y avait ont ouvert la portière arrière pour s'emparer des sachets avant de tirer de force mon sac à main et mon collier.Il y avait plusieurs personnes qui étaient debout à quelques mètres et même des hommes en uniforme qui n'ont même pas daigné essayé de venir à notre secours et ce malgré les armes visibles qu'ils avaient par devers eux".
"Après leur forfaits, poursuit-elle, ils se sont faufilés entre les voitures pour disparaitre impunément.C'est après cela que certains passants et automobilistes ont daigné s'approcher pour s'enquérir de la situation mais ce qui m'a le plus choqué est le témoignage du chef du garage de taxis qui m'a fait savoir que j'étais la énième victime de cette bande et qu'il aurait alerté les commissaires de police de Grand Yoff et Parcelles Assainies depuis plusieurs jours mais apparemment cette question n'est pas dans leurs priorités".
Pour en savoir,nous avons fait le tour de certains services pour se rendre compte de l'effectivité de ces agressions sur les axes de la VDN,de la Patte d'Oie,la route des Almadies,la route de l'aéroport et l'autoroute qui sont les endroits les plus visités par ces bandes constituées souvent de 2 à jeunes à scooter.
Une dame commerçante que nous avons trouvé dans un poste faisant sa déposition nous a déclaré avoir été agressée en plein jour au rond point de Liberté 6 perdant du cout plusieurs millions de nos francs.
Pour un sous officier interrogé,cette situation risque de s'aggraver dans les jours à venir car les services ne disposent ni d'effectif nécessaire ni de moyens pour mener à bien ces missions de sécurisation et les opérations coup de poing sont obsolètes car passant toujours à coté de l'essentiel.
Poursuivant notre source ajoute qu'il est temps que le Président de la République sonne la fin de la récréation en limitant le nombre de policiers et gendarmes à envoyer en mission car ce sont ces départs qui creusent le déficit en éléments, "car autant dans les commissariats que les brigades,le nombre d'éléments par brigade est une honte pour un pays qui se veut avant gardiste pour la sécurité de ces citoyens et pis dans la lutte contre le terrorisme".
A noter que cette situation peut engendrer le phénomène de la justice populaire qui peut aller jusqu'au lynchage public comme ce fut le cas de ces jeunes interpellés par une foule au niveau de la VDN et qui ont passé un sale quart d'heure avant d’être secourus.
En effet, il ne se passe plus jour sans que les commissariats de police ou brigade de gendarmerie n'enregistrent une pléthore de plaintes. Seulement, les forces de sécurité quoi qu'animés par une bonne volonté de maintien de l'ordre, manquent d'effectif.
Il nous revient que nombre d'officiers ont beau décrié cela, mais en vain.
Ndeye Fatou du nom de cette dame qui a été victime d'une agression alors qu'elle se trouvait dans un taxi aux alentours de la patte d'oie nous livre un témoignage qui fait froid dans le dos."J'avais pris un taxi le vendredi pour aller remettre des colis que mon mari avait ramené d'Espagne; et il devait faire 19 heures quand arrivée à hauteur du pont qui fait face à Nabil Choucair,deux jeunes profitant de l'embouteillage qu'il y avait ont ouvert la portière arrière pour s'emparer des sachets avant de tirer de force mon sac à main et mon collier.Il y avait plusieurs personnes qui étaient debout à quelques mètres et même des hommes en uniforme qui n'ont même pas daigné essayé de venir à notre secours et ce malgré les armes visibles qu'ils avaient par devers eux".
"Après leur forfaits, poursuit-elle, ils se sont faufilés entre les voitures pour disparaitre impunément.C'est après cela que certains passants et automobilistes ont daigné s'approcher pour s'enquérir de la situation mais ce qui m'a le plus choqué est le témoignage du chef du garage de taxis qui m'a fait savoir que j'étais la énième victime de cette bande et qu'il aurait alerté les commissaires de police de Grand Yoff et Parcelles Assainies depuis plusieurs jours mais apparemment cette question n'est pas dans leurs priorités".
Pour en savoir,nous avons fait le tour de certains services pour se rendre compte de l'effectivité de ces agressions sur les axes de la VDN,de la Patte d'Oie,la route des Almadies,la route de l'aéroport et l'autoroute qui sont les endroits les plus visités par ces bandes constituées souvent de 2 à jeunes à scooter.
Une dame commerçante que nous avons trouvé dans un poste faisant sa déposition nous a déclaré avoir été agressée en plein jour au rond point de Liberté 6 perdant du cout plusieurs millions de nos francs.
Pour un sous officier interrogé,cette situation risque de s'aggraver dans les jours à venir car les services ne disposent ni d'effectif nécessaire ni de moyens pour mener à bien ces missions de sécurisation et les opérations coup de poing sont obsolètes car passant toujours à coté de l'essentiel.
Poursuivant notre source ajoute qu'il est temps que le Président de la République sonne la fin de la récréation en limitant le nombre de policiers et gendarmes à envoyer en mission car ce sont ces départs qui creusent le déficit en éléments, "car autant dans les commissariats que les brigades,le nombre d'éléments par brigade est une honte pour un pays qui se veut avant gardiste pour la sécurité de ces citoyens et pis dans la lutte contre le terrorisme".
A noter que cette situation peut engendrer le phénomène de la justice populaire qui peut aller jusqu'au lynchage public comme ce fut le cas de ces jeunes interpellés par une foule au niveau de la VDN et qui ont passé un sale quart d'heure avant d’être secourus.