"L’abus de pouvoir est toujours néfaste. Malheureusement, Farba Ngom est en train de saper les bonnes intentions, la bonne gouvernance du Président de la République, Son Excellence Macky Sall notre leader. Si ces actes sournois visent à saper le moral de nous autres militants de l'Apr du Bosséa, c'est peine perdue. Comment comprendre que Yira Sarr se fasse arrêter par le bon vouloir de Farba Ngom avant qu'il soit libéré puis repris de force par la gendarmerie. Nous sommes plus que convaincus, toujours déterminés, engagés à soutenir notre mentor, le Président Macky Sall" fulmine d'emblée Samba Alassane Fedior militant de l'APR , habitant Agnam à MATAM
"Je vais vous dire, aussi bien le Président Macky que la plupart de ces hommes de valeur, fils de Matam, je fais allusion à Harouna, Daouda Dia, Yira Sarr, Amadou Gelongal Barro, pour ne citer qu'eux nourrissent incontestablement des objectifs louables, malheureusement les méthodes de ce Farba Ngom causent un tort assez considérable" renchérit-il.
Aux yeux de notre interlocuteur, Farba Ngom devrait être traduit en justice pour le délit "d'abus d'autorité" . Il est d'avis que celui qui s'enorgueillit du titre de "griot du Président" devrait être sanctionner pour la bonne et simple raison qu'il "use et abuse de son autorité ".
Poursuivant, Samba Alassane Fedior soutient la main sur le coeur que "Farba donne des instructions contraires à la loi. A preuve, il a fait arrêter par deux fois Yira Sarr . Comment comprendre que Yira soit libéré en début de soirée du samedi 20 Août 2016 par la gendarmerie avant que très tard dans la même nuit précisément à 23 heures, je dis bien 23 heures, des éléments de la gendarmerie reviennent à la charge pour encore l'arrêter. Au nom de quoi? Ils ont volontairement transgressé la loi. Fort heureusement, Yira a été finalement libéré après avoir passé une nuit pénible entre les mains de ces pandores. Ils ont du le libérer eu égard à la levée de boucliers, à la mobilisation spontanée des populations d'Agnam, mais également à l'intervention des autres autorités du coin, encore épris de jugeote et de justice.
Je profite de votre organe pour interpeller les plus hautes autorités de ce pays, au premier chef le Président de la République, Macky Sall. Il est temps d'arrêter les incartades de Farba Ngom. Il en veut à Yira parce que ce dernier ne veut pas lui obéir du doigt à l'oeil. Yira est un militant je dirais plutôt un responsable engagé de l'APR, depuis ses premiers balbutiements. Farba, qui se dit riche, veut juste prendre sa revanche sur l'Histoire. Il démontre ainsi qu'il a réussi dans sa vie, qu'il a de l'Autorité, qu'il est influent. La persistance de ce que j'appelle "le phénomène Farba" dans le milieu politique de notre pays est d’autant plus navrante que d'aucuns , particulièrement les pourfendeurs du régime croient savoir que notre leader, le Président Macky, a, d’une manière ou d’une autre, contribué à démocratiser le type du personnage fantoche, fantasque farfelu, je-m’en-foutiste et adepte à souhait de la prose ordurière. Farba, ce champion de l’excès verbal nous a jusqu'ici servi des excréments oratoires qui n’ont aucune place dans ce qu’on pourrait appeler la tradition du débat civilisé.
Ces agitations phénoménales de Farba ont laissé des marques indélébiles dans la mémoire collective de notre patrie, et pour cause. L’homme semble tirer une morbide et infecte délectation de ses pirouettes scatologiques. Comment comprendre les "farberies" nauséabondes que débite Farba démolissant ainsi le peu d’estime que certains esprits anormalement tolérants s’étaient efforcés de garder pour lui. Farba, n'est autre qu'une buffle incorrigible qui a fini de salir l’image sacrée de la République."
"Je vais vous dire, aussi bien le Président Macky que la plupart de ces hommes de valeur, fils de Matam, je fais allusion à Harouna, Daouda Dia, Yira Sarr, Amadou Gelongal Barro, pour ne citer qu'eux nourrissent incontestablement des objectifs louables, malheureusement les méthodes de ce Farba Ngom causent un tort assez considérable" renchérit-il.
Aux yeux de notre interlocuteur, Farba Ngom devrait être traduit en justice pour le délit "d'abus d'autorité" . Il est d'avis que celui qui s'enorgueillit du titre de "griot du Président" devrait être sanctionner pour la bonne et simple raison qu'il "use et abuse de son autorité ".
Poursuivant, Samba Alassane Fedior soutient la main sur le coeur que "Farba donne des instructions contraires à la loi. A preuve, il a fait arrêter par deux fois Yira Sarr . Comment comprendre que Yira soit libéré en début de soirée du samedi 20 Août 2016 par la gendarmerie avant que très tard dans la même nuit précisément à 23 heures, je dis bien 23 heures, des éléments de la gendarmerie reviennent à la charge pour encore l'arrêter. Au nom de quoi? Ils ont volontairement transgressé la loi. Fort heureusement, Yira a été finalement libéré après avoir passé une nuit pénible entre les mains de ces pandores. Ils ont du le libérer eu égard à la levée de boucliers, à la mobilisation spontanée des populations d'Agnam, mais également à l'intervention des autres autorités du coin, encore épris de jugeote et de justice.
Je profite de votre organe pour interpeller les plus hautes autorités de ce pays, au premier chef le Président de la République, Macky Sall. Il est temps d'arrêter les incartades de Farba Ngom. Il en veut à Yira parce que ce dernier ne veut pas lui obéir du doigt à l'oeil. Yira est un militant je dirais plutôt un responsable engagé de l'APR, depuis ses premiers balbutiements. Farba, qui se dit riche, veut juste prendre sa revanche sur l'Histoire. Il démontre ainsi qu'il a réussi dans sa vie, qu'il a de l'Autorité, qu'il est influent. La persistance de ce que j'appelle "le phénomène Farba" dans le milieu politique de notre pays est d’autant plus navrante que d'aucuns , particulièrement les pourfendeurs du régime croient savoir que notre leader, le Président Macky, a, d’une manière ou d’une autre, contribué à démocratiser le type du personnage fantoche, fantasque farfelu, je-m’en-foutiste et adepte à souhait de la prose ordurière. Farba, ce champion de l’excès verbal nous a jusqu'ici servi des excréments oratoires qui n’ont aucune place dans ce qu’on pourrait appeler la tradition du débat civilisé.
Ces agitations phénoménales de Farba ont laissé des marques indélébiles dans la mémoire collective de notre patrie, et pour cause. L’homme semble tirer une morbide et infecte délectation de ses pirouettes scatologiques. Comment comprendre les "farberies" nauséabondes que débite Farba démolissant ainsi le peu d’estime que certains esprits anormalement tolérants s’étaient efforcés de garder pour lui. Farba, n'est autre qu'une buffle incorrigible qui a fini de salir l’image sacrée de la République."