« Les faits et l’histoire sont de notre côté, du côté des sociétés qui laissent les peuples s’exprimer », a lancé le président américain dans un long discours largement axé sur la défense de la démocratie et du libre marché. « Un monde dans lequel 1 % de la population détient 99 % des richesses ne peut pas être un monde stable », a cependant reconnu Barack Obama.
« Je comprends que les inégalités peuvent conduire les peuples au rejet d’autrui, au repli sur soi ou à se tourner vers un homme fort qui se présente comme providentiel, mais ces choix ne conduisent nulle part », a prévenu le président.
Evoquant le groupe Etat islamique, Barack Obama a admis que le fondamentalisme serait long à éradiquer. « Mais si notre religion nous conduit à persécuter ceux qui ont une autre foi, si elle nous empêche d’envoyer les filles à l’école, alors les bases fragiles de notre monde risquent de s’effondrer », a-t-il encore affirmé. « Chacun d’entre nous est libre de rejeter ceux qui flattent nos pires travers et de suivre ceux qui s’appuient sur nos plus belles qualités », a-t-il encore ajouté.
Et le président américain de conclure : « dans ma propre vie, j’ai appris qu’on ne pouvait pas s’élever en abaissant autrui ».
Avant lui, c’est Ban Ki-moon qui était à la tribune. Le secrétaire général des Nations unies a commencé son discours par un plaidoyer sur la Syrie. Il a exhorté les dirigeants du monde à mettre fin au carnage dans le pays.
« Je comprends que les inégalités peuvent conduire les peuples au rejet d’autrui, au repli sur soi ou à se tourner vers un homme fort qui se présente comme providentiel, mais ces choix ne conduisent nulle part », a prévenu le président.
Evoquant le groupe Etat islamique, Barack Obama a admis que le fondamentalisme serait long à éradiquer. « Mais si notre religion nous conduit à persécuter ceux qui ont une autre foi, si elle nous empêche d’envoyer les filles à l’école, alors les bases fragiles de notre monde risquent de s’effondrer », a-t-il encore affirmé. « Chacun d’entre nous est libre de rejeter ceux qui flattent nos pires travers et de suivre ceux qui s’appuient sur nos plus belles qualités », a-t-il encore ajouté.
Et le président américain de conclure : « dans ma propre vie, j’ai appris qu’on ne pouvait pas s’élever en abaissant autrui ».
Avant lui, c’est Ban Ki-moon qui était à la tribune. Le secrétaire général des Nations unies a commencé son discours par un plaidoyer sur la Syrie. Il a exhorté les dirigeants du monde à mettre fin au carnage dans le pays.