Craignant des lendemains violents à la suite du vote du 1er Décembre,nombreux sont les gambiens et étrangers qui ont préféré quitter la Gambie.Et pourtant hormis, nous apprend un des radars de dakarposte, quelques échauffourées entre partisans pro et anti Yaya Diamé et des propos frisant parfois l'insulte,il n'a pas noté de violence comme ce fut le cas lors des manifestations des 14 et 16 Avril qui avaient conduit à la mort de l'opposant Solo Sandeng et l'arrestation d'Ousainu Darboe leader de l'UDP condamné à 3 ans de prison ferme. Déjà,depuis quelques heures les opposants au régime gambien établis aux Etats Unis et en Angleterre ont envahi les réseaux sociaux de messages pas du tout rassurant
.Certains de ces opposants ont d'ailleurs alerté en signalant le blocage prévu de l'internet et des communications téléphoniques orchestré par le régime pour organiser des fraudes massives comme à l’accoutumée. Le principal candidat de l'opposition Adama Barrow quant à lui se dit confiant pour la suite des événements et affirme n'avoir aucune crainte car étant un citoyen gambien. Mais nombreux sont les partisans du candidat de l'opposant à craindre des répressions après les résultats tellement les militants se sont défaussés sur le candidat président qui dirige le pays depuis 22 ans et aspire à un 5éme mandat.
Un communiqué du ministère gambien de l'intérieur informe que les frontières terrestre,maritime et aérienne seront fermés à partir du 30 novembre à minuit pour assurer la tranquillité le jour du scrutin et parer à tout convoyage de militants venus d'ailleurs.
.Certains de ces opposants ont d'ailleurs alerté en signalant le blocage prévu de l'internet et des communications téléphoniques orchestré par le régime pour organiser des fraudes massives comme à l’accoutumée. Le principal candidat de l'opposition Adama Barrow quant à lui se dit confiant pour la suite des événements et affirme n'avoir aucune crainte car étant un citoyen gambien. Mais nombreux sont les partisans du candidat de l'opposant à craindre des répressions après les résultats tellement les militants se sont défaussés sur le candidat président qui dirige le pays depuis 22 ans et aspire à un 5éme mandat.
Un communiqué du ministère gambien de l'intérieur informe que les frontières terrestre,maritime et aérienne seront fermés à partir du 30 novembre à minuit pour assurer la tranquillité le jour du scrutin et parer à tout convoyage de militants venus d'ailleurs.