Le 1er Mai communément appelé la Fête du travail donne l’occasion aux travailleurs, après un an de dur labeur de faire leur bilan d’activités.
A Dakar et à travers tout le territoire national, les travailleurs vont se mouvoir dans des boulevards, avenues, rues ou autres lieux dédiés pour ces genres de manifestation.
Dans la capitale sénégalaise, quelques centrales vont défiler ensemble. La Cnts, l’Unsas, la Cnts Fc, l’Udts etc. et d’autres centrales comme la Fgts qui se retrouve à la Mairie de Dakar, pour cogiter sur leurs conditions de travail.
Et tous, emmitouflés de leurs habits uniformes, de même couleur, dans une ambiance de kermesse, pancartes brandies, charriant leurs revendications, ces travailleurs de toutes branches et de toutes catégories vont se mouvoir dans l’allégresse.
Et toutes ces revendications seront condensées dans des « Cahiers de doléances » déposés, dans l’après, au Palais présidentiel. Un moment solennel où le chef de l’Etat, entouré de ses plus proches collaborateurs, face aux représentants des travailleurs, tirés sur le volet, vont échanger, faire l’état des lieux, avant de se projeter sur l’avenir.
Sans doute, il sera question, entre autres, de ces nombreuses entreprises fermées, ces licenciements abusifs, de la non satisfaction des accords signés avec le Gouvernement… Lequel Gouvernement se glorifiera d’avoir hissé la pension minimale de retraite à hauteur de 85 pour cent du Smig.
A Dakar et à travers tout le territoire national, les travailleurs vont se mouvoir dans des boulevards, avenues, rues ou autres lieux dédiés pour ces genres de manifestation.
Dans la capitale sénégalaise, quelques centrales vont défiler ensemble. La Cnts, l’Unsas, la Cnts Fc, l’Udts etc. et d’autres centrales comme la Fgts qui se retrouve à la Mairie de Dakar, pour cogiter sur leurs conditions de travail.
Et tous, emmitouflés de leurs habits uniformes, de même couleur, dans une ambiance de kermesse, pancartes brandies, charriant leurs revendications, ces travailleurs de toutes branches et de toutes catégories vont se mouvoir dans l’allégresse.
Et toutes ces revendications seront condensées dans des « Cahiers de doléances » déposés, dans l’après, au Palais présidentiel. Un moment solennel où le chef de l’Etat, entouré de ses plus proches collaborateurs, face aux représentants des travailleurs, tirés sur le volet, vont échanger, faire l’état des lieux, avant de se projeter sur l’avenir.
Sans doute, il sera question, entre autres, de ces nombreuses entreprises fermées, ces licenciements abusifs, de la non satisfaction des accords signés avec le Gouvernement… Lequel Gouvernement se glorifiera d’avoir hissé la pension minimale de retraite à hauteur de 85 pour cent du Smig.