ll y 'a paroles de vérité qui s’appliquent à certaines personnes avec une justesse admirable écrivait dakarposte, il y'a de cela quelques temps. Le sieur Cheikh BA, actuel Directeur Général des Impôts et domaines, est sans doute de ce lot. Les qualités exceptionnelles de l’homme ont amené bien des observateurs, dès sa nomination, à affirmer qu’enfin, voici un homme qu’il faut à la place qu’il faut. Nous ne savions pas si bien dire. Car, rien que pour l'année écoulée, la DGID , mamelle de l'Economie Sénégalaise a atteint la barre de ...1000 milliards cfa (vous n'avez pas la berlue!)
D'ailleurs, nos confrères de l'AS en ont fait état dans leur livraison de ce Mardi 15 Janvier 2016. La Dgid, sous le magistère de Cheikh Ba a atteint les 1000 milliards de recettes pour l'exercice 2015. Une prouesse à l'actif certes de celui qui tient les manettes de cette mamelle de l'économie Sénégalaise, mais également à toute l'ossature des Impôts et Domaines.
Une bonne récole dont il fallait s'attendre. Car, rien qu'au mois de Février 2015, les services de la DGID ont réussi à mettre dans leur gibecière la bagatelle de 920 milliards cfa en termes d'impôts.
Aussi, l’impact des réformes enclenchées à la Direction Générale des Impôts (DGID) est certain. Les réformes en cours participent, en effet, de la modernisation, de la segmentation, de la simplification des procédures et surtout, de l’introduction de sources de recettes innovantes
C'est dire qu'une bonne partie de cette pirouette dite Plan Sénégal Emergent, si cher au Président de la République, trouvera enfin un financement.
Tout récemment, Cheikh Ba a lui même annoncé que l'impôt n'est pas seulement un appui budgétaire, mais il y'a plus de 500 milliards d'investissements fiscaux.
En somme, cette prouesse à l'actif de l'actuel administrateur de la Dgid ne devrait pas, du tout alors surprendre. Homme sérail, M. BA a régulièrement donné la preuve de ses compétences dans l’exercice de sa vocation. C’est dire qu’aucune des lourdes responsabilités qu’il a eu à assumer n’a été le fruit d’une courte échelle. C’est pas à pas qu’il a construit sa réputation, exécutant chaque mission avec maestria et un sens très élevé du discernement. Jusqu’à ce que le ressort de la méritocratie le propulse au sommet de la montagne fiscale de notre pays.
Cheikh BA : l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Qui donc cette hypothèse pourrait-elle scandaliser ? Personne sans doute. L’énarque qu’il est observe avec rigueur et scrupule les règles d’éthique et de déontologie, qui sont si fondamentales dans le registre où le destin a bien voulu l’inscrire.
Les Impôts et Domaines restent l’un des compartiments les plus sensibles et les plus complexes de l’Administration générale de notre pays. Le bonhomme en est parfaitement conscient, tant et si bien qu’on pourrait dire qu’une telle lucidité n’est pas étrangère au choix porté sur sa personne pour prendre la direction de ce navire surchargé de trésors mais si difficile à manipuler.
Les Impôts et Domaines constituent une mamelle essentielle dans la vie économique de la République. Et c’est bien heureux que Cheikh BA ne soit pas un berger sans vision, sans imagination. Parce qu’il possède des réflexes de vétérinaire, il connaît mieux que quiconque par là où il faut toucher « la vache en or » pour l’amener à libérer les pépites éclatantes dont regorge sa précieuse anatomie. En termes clairs, Cheikh a toutes les cartes en mains pour ne pas passer à côté de sa mission. Il la place à hauteur d’un sacerdoce citoyen, et ce ne sont pas ses administrés qui diront le contraire, eux qui ont d’emblée apprécié à sa juste valeur la belle politique d’humanisation et de convivialité que l’homme place au centre de son magistère. Dans le service, il a très tôt forcé le respect du groupe placé sous sa tutelle par sa ponctualité légendaire. Contrairement à bien des chefs de sa trempe, qui s’exercent, à longueur d’année, à jouer des tours grossiers à la règle de l’assiduité, Cheikh se fait fort d’être au bureau assez tôt et ne le quitte souvent qu’à des heures très avancées de la soirée. Il examine, épluche, scrute, ne laissant aucune chance au Hasard d’infiltrer la complicité qu’il entretient, de façon très naturelle, avec la rigueur et le don de soi. C’est la même détermination dont il fait preuve dans son combat contre l’exhibitionnisme.
Dakarposte, qui a "creusé " pour en savoir davantage sur l'Homme Cheikh Ba, est en mesure de révéler qu'il a, en effet, des rapports conflictuels avec le bruit, qu’il tient bien en respect et pour toujours sans doute.
Cheikh est réputé proche de son ministre de tutelle, M. Amadou BA. Cela est une bonne chose, certes. Mais l’un comme l’autre sont parfaitement conscient que Cheikh ne méritera le respect et l’estime éternelle d’Amadou qu’autant qu’il mettra l’intérêt supérieur de l’institution qu’il dirige devant la convivialité agissante qui l’unit à son patron.
D'ailleurs, nos confrères de l'AS en ont fait état dans leur livraison de ce Mardi 15 Janvier 2016. La Dgid, sous le magistère de Cheikh Ba a atteint les 1000 milliards de recettes pour l'exercice 2015. Une prouesse à l'actif certes de celui qui tient les manettes de cette mamelle de l'économie Sénégalaise, mais également à toute l'ossature des Impôts et Domaines.
Une bonne récole dont il fallait s'attendre. Car, rien qu'au mois de Février 2015, les services de la DGID ont réussi à mettre dans leur gibecière la bagatelle de 920 milliards cfa en termes d'impôts.
Aussi, l’impact des réformes enclenchées à la Direction Générale des Impôts (DGID) est certain. Les réformes en cours participent, en effet, de la modernisation, de la segmentation, de la simplification des procédures et surtout, de l’introduction de sources de recettes innovantes
C'est dire qu'une bonne partie de cette pirouette dite Plan Sénégal Emergent, si cher au Président de la République, trouvera enfin un financement.
Tout récemment, Cheikh Ba a lui même annoncé que l'impôt n'est pas seulement un appui budgétaire, mais il y'a plus de 500 milliards d'investissements fiscaux.
En somme, cette prouesse à l'actif de l'actuel administrateur de la Dgid ne devrait pas, du tout alors surprendre. Homme sérail, M. BA a régulièrement donné la preuve de ses compétences dans l’exercice de sa vocation. C’est dire qu’aucune des lourdes responsabilités qu’il a eu à assumer n’a été le fruit d’une courte échelle. C’est pas à pas qu’il a construit sa réputation, exécutant chaque mission avec maestria et un sens très élevé du discernement. Jusqu’à ce que le ressort de la méritocratie le propulse au sommet de la montagne fiscale de notre pays.
Cheikh BA : l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Qui donc cette hypothèse pourrait-elle scandaliser ? Personne sans doute. L’énarque qu’il est observe avec rigueur et scrupule les règles d’éthique et de déontologie, qui sont si fondamentales dans le registre où le destin a bien voulu l’inscrire.
Les Impôts et Domaines restent l’un des compartiments les plus sensibles et les plus complexes de l’Administration générale de notre pays. Le bonhomme en est parfaitement conscient, tant et si bien qu’on pourrait dire qu’une telle lucidité n’est pas étrangère au choix porté sur sa personne pour prendre la direction de ce navire surchargé de trésors mais si difficile à manipuler.
Les Impôts et Domaines constituent une mamelle essentielle dans la vie économique de la République. Et c’est bien heureux que Cheikh BA ne soit pas un berger sans vision, sans imagination. Parce qu’il possède des réflexes de vétérinaire, il connaît mieux que quiconque par là où il faut toucher « la vache en or » pour l’amener à libérer les pépites éclatantes dont regorge sa précieuse anatomie. En termes clairs, Cheikh a toutes les cartes en mains pour ne pas passer à côté de sa mission. Il la place à hauteur d’un sacerdoce citoyen, et ce ne sont pas ses administrés qui diront le contraire, eux qui ont d’emblée apprécié à sa juste valeur la belle politique d’humanisation et de convivialité que l’homme place au centre de son magistère. Dans le service, il a très tôt forcé le respect du groupe placé sous sa tutelle par sa ponctualité légendaire. Contrairement à bien des chefs de sa trempe, qui s’exercent, à longueur d’année, à jouer des tours grossiers à la règle de l’assiduité, Cheikh se fait fort d’être au bureau assez tôt et ne le quitte souvent qu’à des heures très avancées de la soirée. Il examine, épluche, scrute, ne laissant aucune chance au Hasard d’infiltrer la complicité qu’il entretient, de façon très naturelle, avec la rigueur et le don de soi. C’est la même détermination dont il fait preuve dans son combat contre l’exhibitionnisme.
Dakarposte, qui a "creusé " pour en savoir davantage sur l'Homme Cheikh Ba, est en mesure de révéler qu'il a, en effet, des rapports conflictuels avec le bruit, qu’il tient bien en respect et pour toujours sans doute.
Cheikh est réputé proche de son ministre de tutelle, M. Amadou BA. Cela est une bonne chose, certes. Mais l’un comme l’autre sont parfaitement conscient que Cheikh ne méritera le respect et l’estime éternelle d’Amadou qu’autant qu’il mettra l’intérêt supérieur de l’institution qu’il dirige devant la convivialité agissante qui l’unit à son patron.